Culte Centre de recherches en sciences islamiques et civilisation de Laghouat, lieu de rayonnement par excellence

Publié par Dk News le 02-06-2019, 15h22 | 11

Les diverses activités socioculturelles et   cultuelles menées par le Centre de recherche en sciences islamiques et de   la civilisation lui ont conféré une position distinguée en tant que lieu de   rayonnement culturel et cultuel.

Ouvert le 27 février 2016, cet établissement n’a cessé d’apporter des   contributions diverses à ses visiteurs et aux chercheurs, de l’intérieur et   de l’extérieur du pays, venus approfondir leurs connaissances culturelles   1et religieuses.

La structure est devenue, en un temps record, une tribune pour différentes   manifestations sur divers thèmes culturels, scientifiques et religieux,   telles que des conférences sur le Fiqh et les miracles dans le Coran ou   d’autres sur la médecine et la Santé, menées en coordination avec   différentes instances de recherches, à l’exemple de l’agence thématique de 

recherches en sciences de la santé d’Oran.

Le centre a, en outre, signé des conventions de coopération, d’échanges   culturels et de formation avec des chercheurs de la bibliothèque du monde   arabe à Paris (France), des universités de Malaisie et des Emirats arabes   unis, en plus d’autres avec de grands Centres et Instituts du pays. Il a servi de cadre également à la tenue de nombreuses manifestations et   activités, dont les dernières en date organisées en ce mois de Ramadhan, en   plus de communications et de rencontres (halaqate) religieuses, a indiqué   le chargé de la communication et du  service de suivi des projets au   Centre.

Sa position scientifique est également le fruit d’implications et   d’efforts de personnalités religieuses (Choyoukh et ouléma) et de son   directeur, Zid El-Kheir Mabrouk, à travers des interventions sur des   chaines médiatiques arabes.

Un produit culturel riche  et diversifié

En dépit de sa récente existence, le Centre frayé un chemin parmi de   grandes instances et tribunes de recherches en sciences et civilisation   islamiques, à travers ses encadreurs (37 chercheurs), spécialisés dans «les   études coraniques et la jurisprudence», «l’histoire culturelle de   l’Algérie», «la civilisation islamique», et «la pensée, la doctrine et le   dialogue avec l’autre».

Consolidant sa position de centre de rayonnement, il s’emploie également à   la publication d’£uvres et de travaux, dont les revues «sciences islamiques   et civilisation»,  «Irfane» des études sur le soufisme, «El-Nawafil sur le   Fikh et le Droit, et ‘‘Etudes sociologiques», a fait savoir le chargé de la   communication, Choucha Harzallah.

A ces contributions, viennent s’ajouter la publication  d’ouvrages   représentant des £uvres thématiques de recherche scientifique, encadrées   par des enseignants d’universités nationales et internationales, en plus de   l’implication dans des travaux avec divers secteurs, tels que la   programmation de projets de long et de court termes, à l’instar de la   projection des projets «Atlas des monuments archéologiques en Algérie» et   «Portail électroniques sur les manuscrits», a-t-il signalé.

 Servant de source d’orientation, et de consultation pour de nombreuses   institutions publiques et privées sur des questions ayant trait à des   thèmes religieux et doctrinaux, le centre de recherches offre d’autres   prestations, dans le cadre son champ d’action, portant sur l’impression de   travaux et de banderoles pour des entreprises économiques, en plus de la   location, pour assurer des sources de revenus, de la salle de conférences   et d’un hôtel.

La bibliothèque, riche de centaines de titres dans divers domaines, est   aussi mise à la disposition des chercheurs, enseignants et étudiants, et   permet de diversifier les activités du centre qui comptent également des   sessions de formation en calligraphie arabe.

Le centre de recherches en sciences islamiques et de la civilisation de   Laghouat reçoit, par ailleurs, des documents et moyens du mouvement   national, de la résistance populaire et de la guerre de libération pour   renforcer ses missions de préservation de la mémoire collective et de   valorisation de ses symboles.