Les risques géologiques. Il ne s’agit pas d’un thème dont c’est une tradition qu’on en nourrisse les débats. Il y a peut-être des débats d’expert, mais pour le moment, rien n’est rendu public. Des risques qui peuvent donner lieu à des accidents ? Des menaces qui peuvent se donner les moyens de leur exécution ?
Les risques peuvent être d’origine naturelle, liés par exemple, comme il est écrit dans tous les ouvrages, à la nature du terrain, comme un séisme ou un glissement de terrain. Alors, on en distingue qui sont liés à des mouvements lents et continus, comme à des affaissements ou effondrements de terrain, des glissements de terrain,.
Ils peuvent également être dus à des mouvements rapides ou discontinus, comme un séisme, ou une évolution volcanique, une chute de rochers, une inondation, ou des coulées de boue.Les risques peuvent être d’origine humaine.
Le creusement de mines peut amener un risque de type dégât minier qui provoque un tassement ou un effondrement de terrain. Un effondrement de barrage qui peut libérer une grande quantité d’eau, une grande vague, le barrage Malpasset qui, en 1959, a produit une vague de 40 m de haut attribuée à une trop faible résistance de la roche et à des failles géologiques non détectées. Exemple tiré de Wipédia, encyclopédie libre.
Le risque est une fonction des menaces, des vulnérabilités, et des expositions
Sujet vaste et important. Hier, a eu lieu une conférence-débat portant sur les risques sismiques en Algérie. L’invité du jour était le professeur Hamou Djelti, chef de division aléas et risques géologiques au centre de recherches en astrologie, astronomie et géophysique (CRAAG) de Bouzaréah. Le professeur a beaucoup parlé de la formation de la création du monde, des types de formation des reliefs de _65 millions d’années à +15 millions d’années.
L’Algérie est une plate-forme non exposée, soit 2secousses par jour, 90 secousses par mois d’environ 2,1 degrés. Pour ce qui concerne le gaz de schiste, dans le cadre de la recherche concernant la transition énergétique, il est loisible de relever l’intérêt accordé à la formation de nos ingénieurs diplômés appelés à se forger dès maintenant pour maîtriser ces nouvelles technologies.
C’est une distance temps qui doit impérativement intégrer au moins deux données. La première doit être la première promotion à se former à la technologie l’accompagnant. Il faudrait commencer par former des cadres aptes à prendre en charge l’exploration et l’exploitation de la nouvelle énergie qui sera au service des générations futures.
