Vol habité de Space X Les défis à venir

Publié par DK NEWS le 03-06-2020, 15h55 | 4

La société du milliardaire américain d’origine sud-africaine Elon Musk a réussi son premier coup de faire décoller une navette de la station spatiale Kennedy-ce qui ne s’est pas produit depuis 2011- avec à son bord deux spationautes et à rallier après 19 heures de vol la station internationale ISS. 
De nombreuses retombées sont escomptées de ce coup de maitre de l’innovation américaine quia permis à une petite start up d’à peine une vingtaine d’année de réussir là où les agences gouvernementales ont échoué. 
Le succès politique est déjà presque consommé pour le président Trump qui a bien exploité la cérémonie de lancement du vol pour solder ses comptes avec ses prédécesseurs démocrates qu’il a accusés d’avoir ‘’liquidé la puissance spatiale américaine’’. 
De même que la pique a été rendue aux Ruses qui ont pris de haut les Etatas Unis pour leur incapacité à propulser des vols spatiaux. 
On attendra pour voir pour les velléités marketing d’Elon Musk qui lorgne le marché mondial du tourisme spatial qui semble lui ouvrir grands ses bras. 
Pour l’heure, les observateurs scrutent de près la mission des deux spationautes américains parvenus à a station ISS, mais dont on ne connait pas encore la date et les modalités de retour sur terre. La mission de retour de l’équipage de Crew Dragon constituera un nouveau test pour Space X qui espère obtenir la certification de la NASA pour la suite de son programme. 
Et elle ne semble pas dénuée de tout risque : « Au moment où Crew Dragon se désolidarisera de la Station spatiale internationale, il entrera alors dans sa phase de retour sur terre, dans laquelle les astronautes sont soumis au plus fort des secousses et de la force G. 
En effet, pour pouvoir sortir de son orbite, à 400 km d’altitude, le vaisseau va devoir ralentir sa vitesse de 28 000 à seulement 800 km/h (la vitesse d’un avion de ligne) », explique le site www.presse-citron.net, dans un article daté du 2 juin, ajoutant : « Cette phase de décélération, dans laquelle les astronautes subissent jusqu’à 4,5 G (soit 4,5 fois le poids de leur corps), n’est pas sans risque. 
Car si la mise en orbite possède son lot de défis, l’entrée dans l’atmosphère du vaisseau possède son lot de minutie.» 
DKNews