Grâce au rétablissement de la paix et de la sécurité l’Algérie immunisée contre l’instabilité et les périodes de transition

Publié par Kamel Cherif le 17-10-2015, 12h08 | 51

L’Algérie fait face à un environnement difficile du fait de la situation dans les pays du voisinage, lesquels souffrent d’une instabilité qui a tendance à devenir chronique. A cet effet, la stabilité dont jouit actuellement l’Algérie est un exploit au vue de cette situation mais aussi des complots dirigés à l’encontre le pays dans le sillage de ce qui est appelé «printemps arabe».

L’Algérie qui a résisté à la tempête de ce «printemps», demeure toujours dans la ligne de mire des forces du mal, sinon comment expliquer les tentatives d’intrusion de terroristes armées jusqu’aux dents à partir des frontières du Sud du pays notamment.

Les forces de l’Armée nationale populaire qui sont déployées tout au long des frontières, déjouent quotidiennement des projets d’attentats contre l’Algérie. Les nombreux groupes de migrants clandestins sont des potentiels terroristes qui sont manipulés par des parties obnubilées par l’idée de déstabiliser l’Algérie. En ce sens, tous les moyens sont utilisés par ces cercles occultes pour parvenir à leurs fins.

Ahmed Ouyahia, avec sa double casquette de secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) et de ministre d'Etat, directeur de cabinet de la présidence de la République, affirme que les tentatives de déstabilisation de l’Algérie sont une réalité et ne relèvent pas de la langue de bois. Cela se vérifie chaque jour.

Idem pour le général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire qui ne cesse pas d’appeler les éléments de l’armée, soldats et officiers, à rester vigilants quant aux dangers qui guettent l’Algérie. Mieux encore, Gaïd Salah ne rate pas la moindre occasion pour les encourager et les féliciter pour leur abnégation et engagement indéfectibles et sans relâche à assurer la sécurité de l’Algérie.

Les efforts déployés par les plus hautes autorités de l’Etat à préserver le pays et l’épargner des changements douloureux et suicidaires opérés dans la région, doivent être accompagnés par un front interne serein et uni.

Or, des parties et des individus en Algérie œuvrent à enflammer le front interne en fantasmant sur une explosion sociale. Des scénarios-catastrophe, rappelant l’instabilité des années 1990, marquées par des périodes de transition, sont évoquées avec une nostalgie criminelle !

Ceux-là se trompent de pays dans la mesure où les Algériens qui ont déjà vécu leur «printemps», avaient farouchement fait face et front contre ceux qui voulaient importer le «printemps arabe». Les marches et les sit-in organisés dans le sillage de ce «printemps» avaient été voués à l’échec du fait de l’absence de mobilisation des Algériens, lesquels veulent la paix, la sérénité et la quiétude.

Ceux qui appellent, à partir des salons feutrés, à opter pour une période de transition ou à l’intervention de l’Armée, ont eu leur réponse. Le peuple veut la paix en approuvant à l’unanimité la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Le retour aux années des périodes d’instabilité de transition est interdit.

Kamel Cherif