Ould Abbes : «La Charte pour la paix et la réconciliation a sauvé le pays du chaos»

Publié par DK News le 30-09-2018, 19h30 | 19

La Charte pour la paix et la réconciliation nationale continue, de susciter l’admiration et le respect de l’artisan de ce chantier (le président Bouteflika), sans laquelle le pays aurait sombré dans le chaos, a affirmé samedi à Médéa le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbes.

Intervenant lors de la célébration du 13è anniversaire de la charte, organisée à la maison de la culture Hassan-el-Hassani, M. Ould Abbes a soutenu que «la Charte pour la paix et la réconciliation nationale continue, treize ans après son entrée en vigueur, de susciter l’admiration et le respect de l’artisan de ce chantier important (le président Bouteflika), sans laquelle le pays aurait sombré dans les abimes du chaos et la désolation».

La Charte pour la paix et la réconciliation nationale est une «£uvre majeure» du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dont «beaucoup de nations louent les mérites et les bienfaits» eu égard aux résultats obtenus, a -t-il ajouté.

«Après le plébiscite du peuple algérien qui s’est exprimé, à une écrasante majorité, en faveur de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, des organismes internationaux ont tenu à distinguer récemment le président de la République en signe de reconnaissance pour ce qu’il a accompli», a soutenu M. Ould Abbes, citant l’exemple de l’institut américain OTB, qui regroupe des membres du congrès, qui a attribué le prix «Brave» au chef de l’Etat pour sa contribution au rétablissement de la paix et de la réconciliation entre les Algériens.

En marge de la célébration du 13è anniversaire de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, le SG du FLN a invité, le président de l’assemblée populaire nationale (APN), Said Bouhadja, a «présenter» sa démission de la Présidence de l’assemblée et éviter ainsi une «situation de blocage de l’APN». 

Ainsi, il a appelé le président de l’APN a démissionner de son poste «en toute dignité et pour l’intérêt de la nation», avertissant contre le «risque d’un blocage» de l’assemblée, en cas de refus de ce dernier de «répondre à l’appel» des membres de l’APN. 

«Nous avons collecté plus de trois cent (300) signatures de députés de la nation, toutes tendances politiques confondues, appelant le président de l’assemblée à renoncer à son mandat et préserver ainsi la stabilité de la chambre basse du parlement», a encore dit M. Ould Abbes».