Les candidats à l’élection présidentielle du 17 avril prochain ainsi que leurs accompagnateurs se sont certainement rendu compte de la popularité dont jouit le président de la République en Algérie, Abdelaziz Bouteflika.
En sillonnant les villes et villages d’Algérie, il est facile de constater toute l’estime que vouent les Algériens au président Bouteflika. Les candidats à l’élection présidentielle l’ont, eux-mêmes, vérifié.
Du Nord au Sud et d’Est en Ouest, la popularité du chef de l’Etat est toujours restée intacte. Il est vrai qu’une campagne de dénigrement est menée à son encontre par des candidats à la présidence de la République. Il est reproché au Chef de l’Etat de briguer un mandat pour la quatrième fois consécutive.
Certains de ces candidats s’opposent à un quatrième mandat et en font leur sujet de prédilection durant toute la campagne. Ces mêmes candidats semblent avoir mis en place un programme de campagne en fonction de celui du président Bouteflika. Leur objectif semble de contrer le président Bouteflika de se présenter à l’élection et d’être élu.
Or, ils gagneraient à présenter une alternative au programme présenté par le président de la République, au lieu de se limiter au stade de la critique. Il semble ainsi que l’on est en train de revivre le scénario de 2004, quand le chef de l’Etat était attaqué de toutes parts, mais en dernier c’est le peuple qui avait tranché en désavouant la campagne qui était menée par certaines parties hostiles au chef de l’Etat. Autrement dit, le peuple algérien saura reconnaitre les siens dans les moments difficiles et décisifs.
Les candidats à la présidence de la République savant qu’il y a quelques années, ils ne pouvaient pas se déplacer à travers le territoire national pour mener leur campagne électorale dans la sérénité et la quiétude. L’absence de sécurité avait amené les citoyens à fuir les villes et villages de l’intérieur du pays pour se réfugier dans les grandes villes plus ou moins sécurisées.
Aujourd’hui, des candidats comme Moussa Touati, Abdelaziz Belaïd et Louisa Hanoune se rendent dans les coins les plus reculés d’Algérie en toute sécurité. Leurs déplacements relevaient de l’impossible, il y a moins de dix ans !C’est dire que le grand défi de la sécurité a été relevé par le président Bouteflika. En d’autres termes, les autres candidats doivent respect et reconnaissance au Chef de l’Etat, ne serait-ce que par honnêteté intellectuelle pour tout ce qu’il a fait en faveur de l’Algérie. L’Algérie profonde tranchera !
