Chine 77 nouveaux cas de pneumonie causée par le nouveau coronavirus recensés

Publié par DK NEWS le 21-01-2020, 16h27 | 6

Un total de 291 cas ont été confirmés et 922 patients sont en observation, a annoncé dans un communiqué la Commission nationale de la Santé.
Le nouveau virus apparu le mois dernier en Chine a fait six morts dans la ville de Wuhan (centre), soit deux de plus que le précédent bilan, a annoncé mardi le maire de cette ville au coeur de l'épidémie.
Le virus, de la famille du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère), touche désormais plusieurs grandes villes du pays - dont Pékin et Shanghai - et trois autres pays d'Asie: Japon, Corée du Sud et Thaïlande.
Zhong Nanshan, un scientifique chinois renommé de la Commission nationale de la santé, a déclaré lundi soir à la télévision publique CCTV que la transmission par contagion entre personnes était «avérée».
C'est la première fois qu'une telle affirmation est faite publiquement.
L'OMS estime pour sa part qu'un animal semble être «la source primaire la plus vraisemblable», avec «une transmission limitée d'humain à humain par contact étroit».
La souche incriminée est un nouveau type de coronavirus, une famille comptant un grand nombre de virus.
Ils peuvent provoquer des maladies bénignes chez l'homme (comme un rhume) mais aussi d'autres plus graves comme le Sras.

Le bilan passe à 6 morts 
Le nouveau virus apparu le mois dernier en Chine a fait six morts dans la ville de Wuhan (centre), soit deux de plus que le précédent bilan, a annoncé mardi le maire de cette ville au coeur de l'épidémie.
Interrogé par la télévision d'Etat CCTV, Zhou Xianwang a précisé qu'un total de 258 personnes avaient été contaminées dans sa ville et que 227 d'entre elles étaient encore sous traitement. 
Le virus, de la famille du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère), touche désormais plusieurs grandes villes du pays - dont Pékin et Shanghai - et trois autres pays d'Asie: Japon, Corée du Sud et Thaïlande.
Zhong Nanshan, un scientifique chinois renommé de la Commission nationale de la santé, a déclaré lundi soir à la télévision publique CCTV que la transmission par contagion entre personnes était «avérée».
C'est la première fois qu'une telle affirmation est faite publiquement.
L'OMS estime pour sa part qu'un animal semble être «la source primaire la plus vraisemblable», avec «une transmission limitée d'humain à humain par contact étroit».
La souche incriminée est un nouveau type de coronavirus, une famille comptant un grand nombre de virus.
Ils peuvent provoquer des maladies bénignes chez l'homme (comme un rhume) mais aussi d'autres plus graves comme le Sras.

L'épidémie touche désormais les grandes villes de Chine 
Pékin au nord, Shanghai à l'est et Shenzhen au sud: la mystérieuse maladie partie du centre de la Chine a gagné les métropoles géantes du pays le plus peuplé du monde et un expert chinois a confirmé lundi qu'elle se transmettait entre humains. Le dernier bilan fait état de 218 cas en Chine, dont trois mortels.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé lundi une réunion d'urgence mercredi pour déterminer s'il convient de déclarer une «urgence de santé publique de portée internationale», qualification qui n'est utilisée que pour les épidémies les plus graves.
Plus d'un mois après son apparition sur un marché de Wuhan (centre), le virus, de la famille du Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère), touche désormais trois autres pays d'Asie: Japon, Corée du Sud et Thaïlande.
Zhong Nanshan, un scientifique chinois renommé de la Commission nationale de la santé, a déclaré à la chaîne de télévision d'Etat CCTV que la transmission par contagion entre personnes était «avérée».
Cet expert avait aidé à évaluer l'ampleur de l'épidémie de Sras en 2002-2003. Elle avait fait 774 morts dans le monde (dont 349 en Chine continentale et 299 à Hong Kong) sur 8.096 cas, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Sortant de son silence, le président chinois Xi Jinping a réclamé que «la propagation de l'épidémie soit résolument enrayée», alors même que le pays est entré comme chaque année dans la «plus grande migration humaine» avec le chassé-croisé du Nouvel an chinois.

Le virus qui inquiète l'OMS 
La Chine a annoncé mardi un quatrième mort victime d'un mystérieux virus semblable au Sras et transmissible entre humains, alors que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) s'apprêtait à tenir une  réunion d'urgence.
Les autorités sanitaires ont indiqué qu'un homme de 89 ans avait succombé à des difficultés respiratoires à Wuhan (centre), ville de 11 millions d'habitants où la grande majorité des contaminations ont jusqu'à présent été recensées.
Dans toute la Chine, il y en a eu plus de 200.
Le virus, de la famille du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère), touche désormais plusieurs grandes villes du pays - dont Pékin et Shanghai - et trois autres pays d'Asie: Japon, Corée du Sud et Thaïlande.
Zhong Nanshan, un scientifique chinois renommé de la Commission nationale de la santé, a déclaré lundi soir à la télévision publique CCTV que la transmission par contagion entre personnes était «avérée».
C'est la première fois qu'une telle affirmation est faite publiquement.
L'OMS estime pour sa part qu'un animal semble être «la source primaire la plus vraisemblable», avec «une transmission limitée d'humain à humain par contact étroit».
La souche incriminée est un nouveau type de coronavirus, une famille comptant un grand nombre de virus.
Ils peuvent provoquer des maladies bénignes chez l'homme (comme un rhume) mais aussi d'autres plus graves comme le Sras.
M. Zhong avait aidé à évaluer l'ampleur de l'épidémie de Sras en 2002-2003 qui avait très durement touchée la Chine.

Un quartier général à Wuhan pour le contrôle de la pneumonie 
Un quartier général pour le contrôle et le traitement de la pneumonie causée par le nouveau coronavirus (2019-nCoV), a été mis en place par la capitale de la province centrale du Hubei, Wuhan, a rapporté mardi l'agence Chine Nouvelle.
Ce quartier général, avec à sa tête le maire de Wuhan Zhou Xianwang, se compose de huit groupes comptant des responsables de la gestion de l'approvisionnement d'urgence, de la circulation, des soins médicaux et du contrôle des épidémies, selon une réunion qui s'est tenue lundi.
 Lors de cette réunion, le quartier général a demandé la mise en place d'une équipe médicale pour le traitement de chaque patient infecté se trouvant dans une situation grave, et a ordonné des mesures pour protéger le personnel médical de la contagion.
 Les rassemblements publics doivent être limités ou annulés, selon la réunion qui a également demandé des mesures telles que la fermeture des marchés concernés, le contrôle de la circulation des animaux sauvages et la surveillance de la température corporelle des voyageurs dans les aéroports, les gares et les ports.
 Ce quartier général sera également chargé de diffuser les dernières informations et les progrès en matière de prévention et de contrôle de l'épidémie, et de diffuser les connaissances en matière de prévention afin d'éliminer le plus possible les craintes au sein de la population.
 La pneumonie causée par le nouveau coronavirus a été signalée pour la première fois à Wuhan en décembre, où 198 cas de pneumonie virale ont été confirmés.
 Selon le bilan établi lundi à 18h00, un total de 224 cas de pneumonie provoqués par le coronavirus ont été signalés en Chine, dont 217 confirmés et sept autres restaient suspects.