Les recommandations de la première université d'hiver du Front de la justice et du développement (FJD) clôturée, samedi à Skikda, ont mis en avant «l'importance de diffuser la conscience politique en milieu juvénile pour réaliser le progrès escompté».
Le militantisme politique pacifique dans le cadre de la loi est «le meilleure chemin vers le changement», ont recommandé les participants à l'université d'hiver des jeunes cadres du FJD, ouverte jeudi dernier dans l'un des hôtels de la ville de Skikda.
Les participants n'ont pas tari d'éloges, dans ces recommandations, sur l'expérience des députés et des élus du parti FJD ayant transmis leurs expériences aux jeunes, encouragé l'action de solidarité et condamné la normalisation avec l'entité sioniste.
L'université d'hiver qui a vu la participation de près de 70 jeunes des quatre coins du pays se veut un espace de débat et de recherche des voies et moyens de développer la performance des étudiants et des jeunes dans l'action politique, en vue de les préparer pour être les futures leaders politique, selon les organisateurs.
Les travaux de l' université d'hiver ont été ouvertes par le président du FJD, Abdellah Djaballah qui a exhorté les jeunes à acquérir davantage de connaissances pour bâtir un avenir meilleur.