APN : Installation du groupe parlementaire d'amitié Algérie-Côte d'Ivoire

Publié par Dknews le 16-03-2022, 19h53 | 9

Le groupe parlementaire d'amitié Algérie-Côte d'Ivoire présidé par le député Mohamed Doukani a été installé mercredi au siège de l'Assemblée populaire nationale (APN).

La cérémonie d'installation s'est déroulée en présence de l'ambassadeur de la République de Côte d'Ivoire en Algérie, Sahi Alphonse Voho, du vice-président de l'APN, Azzi Bentabet et du représentant du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l'étranger, Farouk Boumaza.

A cette occasion, M. Doukani a salué le niveau des relations algéro-ivoiriennes et la convergence des vues entre les deux pays, appelant à leur renforcement à travers le groupe parlementaire d'amitié.

Etant «un trait d'union entre les représentants des peuples», les groupes parlementaires d'amitié «constituent un espace idéal pour échanger les vues, approfondir la concertation entre les parlements et renforcer la solidarité entre les peuples et les Etats», a-t-il ajouté.

De son côté, le vice-président de l'APN a évoqué l'histoire des relations diplomatiques entre les deux pays qui se caractérisent, a-t-il dit, par «les valeurs d'amiti é et de coopération autour des questions bilatérales et régionales».

Dans ce sens, il a mis l'accent sur le rôle de la diplomatie parlementaire pour «donner un nouvel élan au renforcement des relations historiques entre les deux pays qui aspirent à établir un partenariat privilégié à tous les niveaux».

Dans son allocution, le représentant du ministère des Affaires étrangères a salué le niveau des relations diplomatiques entre l'Algérie et la Côte d'Ivoire, appelant à leur «développement, notamment sur le plan économique, les deux pays faisant partie des plus grandes économies d'Afrique».

L'ambassadeur ivoirien a insisté, pour sa part, sur l'importance du renforcement de la coopération et de l'échange des expertises entre les deux pays qui disposent de «toutes les capacités pour réussir la reprise économique escomptée», soulignant la nécessité «d'accorder l'attention nécessaire aux ressources humaines africaines pour être au service du continent».