Programme 100 locaux pour chaque commune: M. Zoukh appelle les présidents d'APC à hâter la distribution des locaux

Publié par DK News le 08-01-2014, 15h55 | 72

Le wali d'Alger Abdelkader Zoukh a appelé mardi les présidents des Assemblées populaires communales (APC) de la capitale à accélérer l'opération de distribution des locaux commerciaux inscrits dans le cadre du programme 100 locaux pour chaque commune, aux jeunes remplissant les conditions.

Lors de sa rencontre avec les élus locaux des communes de la circonscription administrative de Dar El Beida, M. Zoukh a souligné que «la distribution des locaux commerciaux aux jeunes exige un intérêt particulier de la part des présidents d'APC».

Le président de la République avait approuvé en 2005 le lancement du programme 100 locaux pour chaque commune, destinés aux jeunes. Le programme englobe près de 140.000 locaux.
Le wali a, en outre, appelé ces responsables à «accorder davantage d'intérêt aux logements CNEP et ceux inscrits dans le cadre des programmes initiés par les communes car nécessitant un suivi minutieux», insistant sur l'impératif de «finaliser ce projet dans les plus brefs délais». 

S'adressant aux présidents des APC de Dar el Beida, Mohammadia, Bab Ezzouar, Ain Taya, El Marsa, Bordj El Bahri et Bordj El Kiffan, M. Zoukh a souligné l'importance de veiller à la propreté de l'environnement, affirmant que «la wilaya est prête à aider les communes défavorisées concernant le recrutement d'agents d'entretien et l'acquisition d'équipements».

Après une visite aux communes précitées au cours de laquelle il a s'est enquis des préoccupations des citoyens, le wali d'Alger a appelé les présidents de ces APC à «s'acquitter pleinement de leur mission». Il a, en outre, préconisé «d'accorder un intérêt particulier aux communes côtières qui exigent des mesures exceptionnelles».

La tournée effectuée par le wali d'Alger dans ces communes a été marquée par un important regroupement de citoyens venus exprimer leurs préoccupations.M. Zoukh a appelé les élus de la commune de Bordj el Bahri où des jeunes d'un quartier de constructions précaires refusent la réalisation d'un lycée dans leur voisinage, à œuvrer pour que le calme règne dans cette commune et «éviter que ces jeunes ne commettent des actes irréparables».