Les travaux de l'atelier de formation au profit des acteurs de la société civile, organisé
par le bureau de l'Unicef à Alger dans le cadre du programme de travail et de coopération entre l'Algérie et l'organisation onusienne pour la période 2023-2027, ont pris fin mardi après-midi à Alger.
A cette occasion, la vice-présidente du bureau de l'Unicef à Alger, Soraya Hassan, a souligné que cet atelier de formation organisé au profit des acteurs de la société civile s'inscrivait dans le cadre du programme de travail et de coopération entre l'Algérie et l'Unicef pour la période 2023-2027, visant "à développer et à améliorer les potentialités des acteurs de la société civile et à les doter des connaissances nécessaires et modernes pour construire un partenariat efficace".
Elle a ajouté que cet atelier organisé, deux jours durant, a profité aux représentants des différents acteurs de la société civile au niveau national et de la République sahraouie.
Intervenant à la clôture de cette rencontre, le président de l'Observatoire national de la société civile (ONSC), Noureddine Benbraham, a appelé l'ensemble des ac teurs de la société civile parmi les experts, les juristes et les militants pour la poursuite de l'entité sioniste devant la justice internationale pour crimes de guerre et génocide collectif commis contre des enfants, des femmes et des innocents dans la bande de Ghaza sous blocus". Dans ce contexte, il a souligné la nécessité de "constituer des dossiers complets appuyés de photographies et de vidéos, voire de documents à l'effet de les soumettre aux tribunaux internationaux et aux différentes instances en charge de l'enfant". M. Benbraham a critiqué, en outre, les médias des pays complices, rangés du côté de l'entité sioniste qui œuvrent à falsifier les vérités, arguant que la société civile "dispose aujourd'hui de mécanisme de plaidoirie et de défense, en utilisant tous les moyens susceptibles de faire taire les allégations fallacieuses, objet de propagande par l'entité sioniste et ses agents".