Assemblée populaire nationale : Boughali met en exergue le rôle vital de la Commune dans la restauration de la confiance entre le citoyen et l’Etat

Publié par DK NEWS le 20-01-2024, 14h03 | 2

Le président de l’Assemblée populaire nationale  (APN), Brahim Boughali a mis en exergue, jeudi, le rôle vital de la Commune  dans la restauration de la confiance entre le citoyen et l’Etat. 

«La Commune, structure de l’Etat la plus proche du citoyen, doit assurer  ses performances de manière à contribuer, efficacement, à la restauration  de la confiance entre le citoyen et son Etat», a affirmé M. Boughali dans  un message de voeux adressé aux élus locaux à l’occasion de la Journée  nationale de la Commune (18 janvier).

«Associer le citoyen à la gestion de cette structure doit aller au-delà de  la simple désignation de ses représentants dans les Assemblées populaires  communales (APC)», poursuit M. Boughali, soulignant que «l’Algérie nouvelle  repose sur une vision participative qui consacre à tout un chacun un espace  dans lequel il participe activement dans son édification, chacun à son  niveau». 

Convaincu que «le cadre juridique idéal de la commune doit consacrer  l’esprit d’initiative et de réactivité, dans le respect de la loi et loin  des intérêts personnels», le président de l’APN a souligné que «ce cadre  devrait maintenir le lien entre cette structure et l’Administration  centrale, de sorte à ne pas entraver les projets, ni  démotiver les élus». Il a, dans ce contexte, rappelé «les nombreuses tentatives visant à  parvenir à une mouture idoine des prérogatives attribuées aux présidents  d’APC, chargés de la gestion des affaires locales du citoyen», mettant en  avant l’importance de «permettre à ces élus de jouer pleinement leur rôle,  à la lumière de données réelles, souvent difficiles». Le président de la chambre basse du Parlement s’est dit «optimiste quant à  l’avenir de la commune, qu’il entrevoit prospère», d’autant que les hautes  autorités font montre, sous la conduite du président de la République, M.  Abdelmadjid Tebboune, d’»une volonté de fer» à en moderniser la  gestion.