Des dispositions ont été prises afin de remplacer des constructions en préfabriqué susceptibles de contenir de l’amiante. Ainsi, dans le cycle primaire, l’on fait savoir que le nombre d’écoles primaires concernées est de 12, avec 23 salles de classe «identifiées» dont 21 remplacées. Restent 02 salles de classe à l’école primaire de Targa Ouzemmour (Béjaïa) non utilisées.
Dans le cycle moyen, ce sont 05 CEM qui sont concernés (par la présence de l’amiante au sein de leurs structures), 04 d’entre eux ont été remplacés, et «La direction de l’éducation de la wilaya de Béjaïa réitérera devant la commission d’arbitrage de 2015 la proposition déjà faite en 2014 et non satisfaite d’inscrire un CEM en remplacement du CEM Kadoum-Malek d’Akbou».
05 lycées sont eux aussi concernés, pour ce qui est du cycle secondaire, 04 d’entre eux ont été remplacés. Il s’agira, également, de proposer de nouveau l’inscription d’un lycée à substituer à celui du Technicum d’Ihaddaden-Béjaïa, devant la commission d’arbitrage de 2015.
Structures (nouvelles) réceptionnées entre le 01/1/2014 et le 10/9/2014 : 14 salles de classe en extension (02 à Seroual-Oued Ghir, 02 à Taourirt-Larbaâ-Oued Ghir, 04 à Berchiche-El Kseur, 03 à Ighil Ouadhou-Timezrit et autres à Taourirt Ighil), et 02 cantines scolaires au profit des écoles primaires Mahfouda (Bouhamza) et Cité nouvelle (Sidi Aïch).
Le cycle moyen se voit, lui, renforcé par l’inauguration de 02 CEM (Base 05 Souk El-Tenine et Base 06 Aït R’zine), 04 salles de classe (CEM Mernache Salah-Khellil-Barbacha) et 04 terrains de sport (Lounici Mokrane-Draâ El-Gaïd, Mixte Boudjellil, Berkouk Yahia-Aokas et Chouhada Drir-El Kseur).
Les structures prévues en réception dans le courant de cette rentrée scolaire de 2014-2015 sont des salles classe (51), 01 groupe scolaire, 10 cantines scolaires, 02 CEM, 03 demi-pensions, 08 terrains de sport, 03 lycées, 06 salles de sport et, enfin, le nouveau siège de la direction de l’Education.
Un rythme de réalisations- en dépit de certains retards- générateur de sérénité et d’éradication des «zones de tension».