Réputé bien installé sur ce marché du streaming musical, le suédois Spotify a connu tout récemment quelques soubresauts du fait du retrait de son catalogue de toutes les œuvres de l’artiste Taylor Swift, « chanteuse, auteur-compositrice-interprète,musicienne et actrice américaine », selon l’encyclopédie en ligne wikipédia.
En effet, Spotify n’a pas voulu accéder à la demande l’artiste qui selon le site www.generation-nt.com « souhaitait n’autoriser que les auditeurs extérieurs aux Etats Unis, afin de mieux se faire connaître à l’international tout en essayant de préserver les ventes de son nouvel album ‘’1989’’ sur son marché national ».
Dans le sillage de cette affaire, est remontée à la surface l’idée d’une intermédiation inutile voire même nuisible des sites de streaming, au détriment de la création et des artistes. Ce qui a contraint le patron de l’exécutif de Spotify, Daniel Ek à monter au créneau par des éléments de langage destinés à rassurer sur le rôle constructif, pour ne pas dire créatif de son service dont, a-t-il du expliquer, selon le même site, «70% des revenus partent en droits aux éditeurs et aux artistes », ajoutant que Spotify, « leur a versé plus de 2 milliards de dollars depuis le, lancement du service en 2008 ».