Présente sur tous les fronts de l’innovation technologique, la DARPA se distingue sur le front spatial par des essais apparemment concluants de mise en orbite de satellites de petits volumes par des lancements opérés à partir d’avions de chasse.
Cette innovation vise une réduction sensible es coûts de placement des satellites, comme l’explique le site www.usinenouvelle.com/ qui voit qe dans le contexte actuel, « il n'existe aucun accès rapide et à faible coût pour mettre une petite charge en orbite terrestre basse.
Ces satellites doivent attendre de pouvoir passer comme charge secondaire sur de plus gros lancements. » Baptisé Alasa (Airborne Launch Assist Space Access), pour "accès à l'espace assisté par lancement aérien", ce programme sur lesuel travaill la DARPA depuis 2011, se base sur « l'utilisation d'un avion de chasse pour emmener un petit lanceur à une haute altitude (supérieure à 15 000 m), qui lui-même emporterait ensuite un microsatellite de 45 kg en orbite terrestre basse » .
Lit on sur le même site qui rapporte également que la DARPA ne compte pas en rester là puisqu’elle planche actuellement sur des études pour, écrit-il, « la mise en place de lancements de satellites (d'un poids allant jusqu'à 2 300 kg) à moins de 5 millions de dollars au travers du programme d'avion spatial hypersonique XS-1 »
Les batailles des profondeurs
Pour l’encyclopédie en ligne wikipedia, le « web profond ou web invisible ou encore web caché (en anglais deep web) est la partie de la Toile accessible en ligne, mais non indexée par des moteurs de recherche classiques généralistes » ; ce qui n’est pas le cas pour d’autres moteurs de recherche qui comme « BASE ou Tor, prennent cependant en compte cette partie du réseau », ajoute wikipedia.
Les regards se sont tournés il y a quelques semaines, vers les péripéties d’une véritable descente de police, effectuée simultanément par des services de nombreux pays, sous la coordination, du FBI, sur ces réseaux privés qui maillent le web profond, avec à la clé des centaines d’arrestation un peu partout dans le monde.
Début novembre dernier, beaucoup de titres de la presse internationale rapportaient les détails de cette opération policière, conduite avec la police fédérale américaine , qui a vu, selon le quotidien Le Parisien des perquisitions « menées dans 359 lieux et 97 personnes ont été interpellées tandis que "des quantités substantielles" d'argent liquide, armes illégales, drogues et plus de 1.000 disques durs ou clés USB ont été saisis ».
L’organisme européen chargé de cette lutte a indiqué au journal l’utilisation du logiciel visé par la descente policière, ‘’Blackshade’’ « à des fins criminelles par un homme de 18 ans qui a infecté au moins 2.000 ordinateurs, et contrôlé les webcams des victimes pour prendre des photos de femmes et de filles ».