De nombreux citoyens titulaires de licences en Droit (système classique avec 04 années d'études) et d'autres titulaires de licences en journalisme, ont fait part de leur grand étonnement, de ne pas voir leurs spécialités retenues pour le concours des professeurs décidé par le ministère de l'éducation nationale.
La ministre en personne avait pourtant déclaré qu'aucune injustice ne sera tolérée, mais suite à la publication de la liste des concernés, les licenciés en droit et ceux en journalisme ne figuraient pas.
La question qui se pose est la suivante :« Pourquoi un licencié en histoire et géographie, peut postuler à un poste de professeur d'arabe par exemple et non pas un licencié en droit ou en journalisme? »
Le motif des postes d'emplois offerts aux licenciés en droit et en journalisme ne tient pas la roure, car les licenciés en histoire et en géographie, ont aussi des institutions spécialisées qui les concerne et n'ont qu'à s'adresser à celles-ci.Tous les licenciés en droit ne sont pas avocats et tous les licenciés en journalisme ne sont pas journalistes. La majorité de ces deux catégories de licenciés sont au chômage. Alors pourquoi les exclure de ce concours ?
Le premier ministre Monsieur SELLAL , a pourtant été clair en annonçant que personne ne serait lésé. Les citoyens en questions lancent un appel au premier ministre, avant la date du concours, afin qu'ils puissent eux aussi déposer leurs dossiers respectifs et bénéficier des mêmes chances que les autres citoyens, « C'est une question de justice sociale? »