Il n’y a plus de rhétorique «guerrière» dans le langage des syndicats. Cela est confirmé dans le secteur de l’éducation à travers le pacte qui engage l’administration et le mouvement syndical. Pour son secteur, Mme la ministre « rappelle la place importante qu’occupe «le syndicat».
Sans doute que pour ce qui concerne les autres secteurs, de la tripartite tenue à Biskra, il en a découlé ce que les partenaires ont appelé «un pacte social». Cela n’est pas étranger à l’appel lancé par le président de la République et relayé actuellement par le SG du FLN destiné à la constitution d’un front intérieur solidaire.
Le front est appelé à jouer le rôle de rempart contre toutes les menaces telles que celles qui ont déstabilisé et insécurisé durablement nos voisins.
Il est également destiné à faire front contre les obstacles à l’application du programme en cours et à sa conduite dans le contexte actuel où la crise financière issue de la baisse de nos ressources extérieures doit absolument être surmontée par les efforts à consentir pour réussir la «diversification» de notre économie.tel que le président a fixé comme objectif à l’action du gouvernement.
La baisse du cours du baril de pétrole verra ses conséquences réduites par la rationalisation des dépenses publiques et l’amélioration du climat des affaires qui commence à devenir palpable. Le message est bien reçu par des investisseurs extérieurs qui empruntent la destination Algérienne.
Les cadres dirigeants d’entreprise ont bénéficié de la dépénalisation de l’acte de gestion et peuvent maintenant gérer leurs en vtreprises selon les normes universelles dans un contexte de forte concurrence. Un hommage a été également adressé à nos cadres pour leur compétence.
L’Algérie possède les moyens de s’en sortir. Plus même, de rejoindre le lot des économies émergentes, objectif fixé déjà par le président de la République.
DK NEWS