La «distinction entre les réseaux terroristes et l'opposition» aura de grands effets sur la poursuite des négociations pour une sortie de crise en Syrie, prévues le 25 février à Genève, a souligné un porte-parole de la diplomatie iranienne.
«Le fait de faire la distinction entre les réseaux terroristes et l'opposition est une question importante qui aura ses grands effets sur la poursuite des pourparlers inter-syriens», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hossein Jaberi Ansari.
La diplomatie iranienne a en outre souligné que «toute ingérence étrangère en Syrie sans la coordination avec le gouvernement et le respect de la souveraineté de la Syrie compliquera davantage la crise et aura des résultats graves sur la région et le monde».Pour M. Ansari, «les interventions régionales et internationales ont contribué à la complication de la crise en Syrie», qui a fait plus de 260.000 morts et poussé à l'exode des millions de syriens au péril de leur vie.