Université Djilali Bounaama-Khemis Miliana : Journée d’étude sur « la presse, les jeunes et la violence dans notre société »

Publié par Salim Ben le 04-03-2016, 15h46 | 143

L’union nationale des jeunes algériens (UNJA) a organisé une journée d’étude en collaboration avec l’université Djilali Bounaama de Khemis Miliana et l’association Bassmat El Wiam, au cours de cette semaine sous le thème « La presse, les jeunes et le phénomène de la violence dans la société moderne»

Devant un nombre important des étudiants, et en présence de plusieurs docteurs et professeurs en la matière, la journée a été beaucoup plus adressée aux acteurs et actrices des secteurs de la culture de l’éducation, aux bénévoles associatifs, aux parents, aux imams et aux journalistes et correspondants locaux. Face aux risques encourus par les jeunes aux prises avec le harcèlement en ligne, et les multiples agressions qui s’enregistrent quotidiennement dans nos rue, les intervenant, ont axé leur speech sur les mesures qui doivent etre prises afin de mettre fin a ce phénomène. Le docteur Titaouni El Hadj, a parlé sur le métier d’un vrai journaliste qui doit etre objectif dans ses écris et propres dans ses expressions, sans toucher a la dignité de personnes «Ce phénomène récent, qui s’avère être en plein développement doit etre rasé ».  Pour le professeur Azzedine Madani, « La rue est devenue le cœur de ces fléau et nous devons protéger nos enfants par une bonne éducation et des compagnes de sensibilisations a travers les écoles et les associations » Pour le journaliste animateur du JT de l’ENTV en l’occurrence Mr Rachid Benhmimid « La presse et l’arme ont le meme role,  elles peuvent sauver des vies comme elles peuvent tuer » « Les journalistes doivent choisir des titres qui optent pour le développement et non pas pour l’agression »

« Il se trouve qu’il ya une nécessité de prendre en charge ces jeunes et de poursuivre leur parcours scolaire et professionnel aussi, car personne n’est a l’abri. Les parents doivent accompagner leur enfants et guider leur ambitions ». Explique Djamila, une future journaliste. Ces phénomènes récents, qui s’avèrent être en plein développement, menace toujours notre société et nos jeunes qui sont les vrais victimes. Les réseaux sociaux et identité virtuelle peut aussi dévier nos jeunes c’est pour cela l’état doit faire face a ces virus qui contaminent toute une population.

Salim Ben