Bedoui devant le parlemant : L'atteinte aux institutions constitutionnelles et à leurs symboles, une «ligne rouge» à ne pas franchir

Publié par DK News le 08-04-2016, 17h55 | 81

Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Bedoui, a indiqué jeudi que l'atteinte aux institutions constitutionnelles et à leurs symboles était une «ligne rouge à ne pas franchir». L'atteinte aux institutions constitutionnelles et à leurs symboles est «une ligne rouge à ne pas franchir», a précisé M. Bedoui qui répondait à une question d'un journaliste sur la campagne de presse hostile à l'Algérie et à ses institutions menée par certains médias en France.

«Il est de notre devoir en tant qu'Algériens de ne pas tolérer qu'il soit porté atteinte à nos symboles et à nos institutions constitutionnelles», a ajouté le ministre en marge d'une séance plénière à l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales.

La protestation énergique du ministère des Affaires étrangères contre cette campagne est une «réaction appropriée», a affirmé M. Bedoui. Le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, a élevé mercredi une protestation énergique auprès de l'ambassadeur de France, Bernard Emie, qui a été convoqué au siège du ministère des Affaires étrangères suite à la campagne de presse hostile à l'Algérie et à ses institutions, menée en France dans différents médias et à travers d'autres activités publiques.

M. Lamamra «a fait valoir le fait que ladite campagne malveillante et fallacieuse -que l'invocation de la liberté de la presse ne saurait aucunement justifier- a atteint son paroxysme avec des manipulations diffamatoires délibérément dirigées contre l'institution présidentielle», avait indiqué un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

M. Bedoui réitère la détermination de l'Etat à prendre en charge les préoccupations des agents de la garde communale

Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Bedoui, a affirmé jeudi que son secteur travaillait «sérieusement et consciencieusement en vue de prendre en charge les préoccupations des agents de la garde communale», qualifiant cela de «devoir national irrévocable».

M. Bedoui a indiqué en marge de la séance plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, que son secteur «s'emploie à prendre en charge les préoccupations de la garde communale de manière rapide à même de nous permettre de satisfaire certaines revendications sociales».

Il a précisé que cette prise en charge «émane de la conviction du gouvernement des sacrifices consentis par cette catégorie pour la défense de l'Algérie et en application des directives du président de la République, Abdelaziz Bouteflika».

Il a rappelé que «le gouvernement ne manquera pas à ses engagements et ne renoncera pas à la prise en charge des revendications des agents de la garde communale».A ce propos, M. Bedoui a souligné les rencontres périodiques tenues avec cette catégorie à laquelle «le gouvernement voue considération et respect», annonçant la possibilité d'organiser une réunion avec ses représentants dans le courant de la semaine prochaine.