EtatsUnis-Libye : Le futur chef d'Africom juge «très complexe» la situation en Libye

Publié par DK News le 22-06-2016, 15h32 | 46

Le futur chef du commandement militaire américain pour l'Afrique (Africom), le général Thomas D. Waldhauser a jugé «très complexe» la situation en Libye.
«La situation e  Libye est aujourd’hui très complexe», a déclaré Waldhauser au cours de son audition mardi par la commission des forces armées du sénat américain. Thomas Waldhauser a été nommé par le président Barack Obama pour succéder au général David Rodriguez au poste de chef d’Africom. Sa nomination doit être confirmée par le Sénat. Il a indiqué que les Etats-Unis avaient deux objectifs importants en Libye: «parvenir à rendre le gouvernement d’union national (GNA) opérationnel et neutraliser le groupe terroriste autoproclamé «Etat Islamique» (EI/Daech)».

 Il a ajouté que des consultants américains assistaient le gouvernement libyen depuis mars dernier dans sa lutte contre le terrorisme, en indiquant que les «responsables américains suivaient de très près la situation à Syrte».Thomas Waldhauser a précisé au cours de cette audition centrée sur la situation en Libye qu’en dépit des progrès réalisés par les forces du GNA à Syrte, ces dernières «peinent encore à avancer dans le centre de la ville».

Par ailleurs, Waldhauser qui dirige actuellement la force de développement conjointe relevant des services de l’état major américain a relevé qu’Africom allait continu r à défendre les intérêts américains dans le continent tout en renforçant la lutte contre «l’extrémisme violent qui a pris racine dans certaines régions d’Afrique».

«Aujourd'hui, il y a de nombreux défis complexes dans la région (à) les organisations terroristes telles que Daech en Libye ou al-Shabab en Somalie sont présentes et actives à travers le continent», a indiqué Waldhauser qui cite également Boko Haram au Nigeria et l’Armée de résistance du Seigneur en Ouganda. «Africom va continuer à travailler avec ses partenaires africains pour contrer ces menaces transnationales et empêcher l’exportation de la terreur vers d’autres régions du continent, a-t-il ajouté.

Le futur chef du commandement militaire américain pour l'Afrique (Africom), le général Thomas D. Waldhauser a jugé «très complexe» la situation en Libye.
«La situation e  Libye est aujourd’hui très complexe», a déclaré Waldhauser au cours de son audition mardi par la commission des forces armées du sénat américain. Thomas Waldhauser a été nommé par le président Barack Obama pour succéder au général David Rodriguez au poste de chef d’Africom. Sa nomination doit être confirmée par le Sénat. Il a indiqué que les Etats-Unis avaient deux objectifs importants en Libye: «parvenir à rendre le gouvernement d’union national (GNA) opérationnel et neutraliser le groupe terroriste autoproclamé «Etat Islamique» (EI/Daech)».

 Il a ajouté que des consultants américains assistaient le gouvernement libyen depuis mars dernier dans sa lutte contre le terrorisme, en indiquant que les «responsables américains suivaient de très près la situation à Syrte».Thomas Waldhauser a précisé au cours de cette audition centrée sur la situation en Libye qu’en dépit des progrès réalisés par les forces du GNA à Syrte, ces dernières «peinent encore à avancer dans le centre de la ville». Par ailleurs, Waldhauser qui dirige actuellement la force de développement conjointe relevant des services de l’état major américain a relevé qu’Africom allait continu r à défendre les intérêts américains dans le continent tout en renforçant la lutte contre «l’extrémisme violent qui a pris racine dans certaines régions d’Afrique».

«Aujourd'hui, il y a de nombreux défis complexes dans la région (à) les organisations terroristes telles que Daech en Libye ou al-Shabab en Somalie sont présentes et actives à travers le continent», a indiqué Waldhauser qui cite également Boko Haram au Nigeria et l’Armée de résistance du Seigneur en Ouganda. «Africom va continuer à travailler avec ses partenaires africains pour contrer ces menaces transnationales et empêcher l’exportation de la terreur vers d’autres régions du continent, a-t-il ajouté.