Célébration du 55ème anniversaire du recouvrement de la souveraineté sur la Télévision et la Radio : L’hommage du ministre de la communication

Publié par DKNews le 28-10-2017, 17h56 | 39

Le 55ème anniversaire du recouvrement de la souveraineté nationale sur la Télévision et la Radio le 28 octobre 1962 a été célébré, samedi à Alger, en présence du ministre de la Communication, Djamel Kaouane.M. Kaouane a rendu hommage, au siège de la Télévision et la Radio nationales, aux martyrs de la révolution, rappelant le message du président de la République, à l'occasion de la Journée nationale de la presse, qui est, a-t-il souligné, «une feuille de route», notamment dans son aspect de la défense de «la réputation et des intérêts» du pays.

Il a appelé les journalistes de la télévision et de la radio à être «au diapason des défis de l'heure», pour contribuer au «progrès et la construction» de l'Algérie. S'agissant de la couverture des élections locales, M. Kaouane s'est dit «satisfait» de la «bonne» préparation technique et professionnelle des médias publics à l'occasion de cet «important rendez-vous» de la vie nationale pour assurer leur mission de service public avec «professionnalisme».

Interrogé sur «l'exclusion» de la chaine III et Canal Algérie de l'expression directe des candidats comme ça se faisait précédemment, M. Kaouane a indiqué que «ce n'es pas une exclusion, mais il s'agit juste de l'aspect expression directe, pour être en conformité avec la loi, puisque c'est les deux langues nationales et officielles qui sont utilisées dans le cadre de l'expression directe».

Il a expliqué que la chaine III et Canal Algérie pouvaient diffuser dans ces deux langues l'expression directe, précisant qu'il y avait tous les autres segments pour contribuer à la campagne électorale, notamment les différentes émissions, les reportages et les couvertures.

Interpelé par une journaliste de la Radio nationale sur le «blocage» de l'évolution de carrière dans leur entreprise, M. Kaouane a appelé au «dialogue et la concertation» entre les différentes parties, ajoutant : «adressez moi toutes les correspondances nécessaires.

Il faut que je connaisse l'information, nous étudierons (cette question) avec sérieux avec toutes les parties concernées».