Alors que le torchon commence à bruler entre Paris qui a déicide de mettre en application la fameuse taxe GAFA, pour imposer les géants américains du numérique, et Washington qui ne veut pas en entendre parler et menace de taxer le produits français à leur entrée sur le marché américain, le Premier Ministre britannique se met de la partie en appelant lui aussi à de nécessaires taxes sur les géants numériques américains, prenant du coup le risque de se mettre le président Trump sur le dos.
Il vient en effet de rebondir sur un texte débattu l’année dernière à Londres qui mentionne une taxe de 2% sur les ventes des sociétés comme Google, Apple ou Amazon ; « Boris Johnson souhaite donc une contribution "plus juste" des Gafa, estimant que l'Etat doit s'intéresser à leurs immenses revenus et étudier leur taux d'impositions », lit-on dans un papier du site https://fr.euronews.com, mis en ligne le 4 décembre dernier.
Cette position intervient au moment où les échanges s’intensifient entre Paris et Washington pour trouver un terrain d’entente sur cette fameuse taxe.
