
Selon les chiffres officiels publiés samedi, le Royaume-Uni a signalé 24.885 nouveaux cas de COVID-19 au cours des dernières 24 heures, portant le nombre total de cas de coronavirus dans le pays à 4.879.616.
Le pays a également enregistré 18 autres décès liés au virus.
Le nombre total de décès liés à la COVID-19 au Royaume-Uni s'élève désormais à 128.207.
Ces chiffres n'incluent que les décès de personnes mortes dans les 28 jours suivant leur premier test positif.
Toujours selon les chiffres officiels, plus de 45,1 millions de personnes ont reçu une première dose de vaccin contre la COVID-19 et plus de 33,4 millions ont reçu deux doses dans le pays.
Les dernières données ont été révélées alors que le gouvernement britannique envisage de réviser les règles de quarantaine du fait que de plus en plus de personnes sont vaccinées.
Dans le même temps, a annoncé le ministère de la Santé et des Affaires sociales, plus de 600.000 échantillons positifs de la COVID-19 ont été séquencés de manière génomique au Royaume-Uni à la date du 2 juillet, ce qui fournit des données inestimables qui soutiendront les décisions d'asso uplir la distanciation sociale à l'avenir et aideront à surveiller les variants futurs et les menaces de maladies infectieuses.
Le séquençage génomique est une analyse en laboratoire qui identifie la constitution génétique d'un virus, permettant de détecter de nouveaux variants ou des mutations dans des variants existants. Depuis mai 2020, une étude nationale menée par l'Université d'Edimbourg dans le cadre du consortium GenOMICC et en partenariat avec Genomics England a tenté de découvrir pourquoi certaines personnes qui ont été atteintes par la COVID-19 sont devenues extrêmement malades et ont dû être hospitalisées tandis que d'autres ont éprouvé moins ou aucun symptôme.
A ce jour, plus de 8.400 personnes testées positives à la COVID-19 mais n'ayant pas eu besoin d'aller à l'hôpital se sont portées volontaires pour y participer, et les résultats préliminaires de l'étude ont déjà identifié de nouveaux traitements possibles pour lutter contre le virus, qui sont en cours d'essais cliniques, a indiqué le ministère.