Les technologies numériques ont le potentiel de créer de nouveaux emplois à plus de 40 millions de personnes en Indonésie, a indiqué, lundi, le chef de l'Agence nationale de planification et de développement, Suharso Monoarfa.
Par conséquent, l'Indonésie doit mener une transformation économique dans la période post-Covid19, en améliorant notamment les compétences des travailleurs indonésiens, afin que l'économie non seulement se redresse, mais aussi qu'elle progresse au-delà de 5 % par an, a déclaré M.
Monoarfa lors d'un débat public en marge du Forum Société Statistique.
En plus de l'utilisation des technologies numériques, l'économie doit être plus inclusive et durable, afin que l'Indonésie puisse atteindre son objectif de zéro émission nette d'ici 2060, a-t-il dit.
«La reprise économique à elle seule ne suffit pas à relever la trajectoire de l'économie, nous avons donc besoin d'une transformation économique que nous dirigeons pour restaurer et élever l'économie plus haut», a-t-il estimé.
La transformation vers une économie plus inclusive et durable est également co ntenue dans le Plan de travail du gouvernement (RKP) 2023 comportant huit orientations politiques, notamment l'accélération de l'élimination de l'extrême pauvreté, l'amélioration de la qualité des ressources humaines, de la santé et de l'éducation et la lutte contre le chômage en offrant des emplois décents.
Le gouvernement, rappelle le responsable indonésien, encouragera également la relance des entreprises, la recherche scientifique appliquée, la transition énergétique, et accélérera le développement des infrastructures de base.
En 2023, le gouvernement demeure optimiste quant à une croissance économique qui varie entre 5,3 à 5,9 %, afin que l'Indonésie puisse conserver son statut de pays à revenu intermédiaire supérieur.
La Chine s’est classée en 2021 au premier rang mondial pour les demandes internationales de brevets, selon le site officiel de l’Administration nationale de la propriété intellectuelle de Chine.
C’est la troisième année consécutive que la Chine prend la première classe mondiale pour ces demandes de brevets déposées dans le cadre du Traité de coopération en matière de brevets (PCT), un accord international qui permet de demander simultanément la protection par brevet d’une invention dans un grand nombre de pays. Le Traité est considéré comme une référence importante de la capacité d’innovation d’un pays.Ainsi, TCL China Star Optoelectronics Technology Co, basée dans la zone de développement de haute technologie d’East Lake, également connue sous le nom d’Optics Valley of China, s’est classée 32e dans la liste des 50 premières entreprises mondiales pour les demandes de brevet PCT. Optics Valley est situé dans la ville de Wuhan, capitale de la province du Hubei en Chine centrale.
Les 12 autres entreprises basées en Chine figurant sur la liste comprenaient Huawei, Tencent, OPPO, VIVO et Xiaomi.
Un rapp ort de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle a montré qu’en 2018, TCL était 50e dans le classement. La société serait également celle de Wuhan qui obtient le plus de brevets autorisés aux Etats-Unis.
TCL est également largement considéré comme un poids lourd dans le cluster industriel optique, circuits intégrés, écrans, terminaux et Internet du Hubei, avec une valeur de mille milliards de yuans. Elle mène des recherches et fabrique des panneaux d’affichage pour PC, ainsi que des écrans flexibles haute définition et des écrans pliables sur les téléphones mobiles.
En 2021, les 10 premières entreprises en termes de demandes de brevets dans la province du Hubei étaient toutes de Wuhan. Les brevets liés à la technologie informatique représentaient la plus grande part du nombre total de brevets, suivis de ceux liés aux communications numériques, aux technologies médicales, aux machines électriques. L’année dernière, la province du Hubei a déposé 1.691 demandes de brevets internationaux PCT.
