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Palestine Ghaza : le bilan de l'agression sioniste s'alourdit à 30.878 martyrs

Publié par DK NEWS le 09-03-2024, 14h42 | 1
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Le bilan de l'agression sioniste contre la bande de Ghaza s'est alourdi vendredi à 30.878 martyrs, principalement des femmes et des enfants, et à 72.402 blessés, depuis le 7 octobre, selon les autorités sanitaires palestiniennes.   

Au moins 78 Palestiniens sont tombés en martyrs et 104 autres ont été blessés au cours des dernières 24 heures, alors que l'entité Sioniste poursuit ses attaques contre la Bande de Ghaza assiégée, a déclaré le ministère de la Santé à Ghaza. Le ministère a indiqué, dans un communiqué, que les forces d'occupation sioniste avaient commis huit massacres contre des familles de la Bande de Ghaza au cours des dernières 24 heures.

"De nombreuses personnes sont toujours sous les décombres et le long des routes, car les secouristes ne peuvent pas les atteindre", indique le communiqué, ajoutant que "72 % des victimes de l'agression des forces sionistes sur Ghaza sont des femmes et des enfants".

L'entité Sioniste mène une agression génocidaire contre la Bande de Ghaza, depuis le 7 octobre 2023, et a poussé 85 % de la population à se déplacer à l'intérieur du territoire, dans un contexte de pénurie de nourriture, d'eau potable et de médicaments, tandis que 60 % des infrastructures de l'enclave ont été endommagées ou détruites, selon les Nations unies.

L'entité Sioniste est poursuivie devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour crime de génocide. Un arrêt rendu en janvier a enjoint l'occupant sioniste de mettre fin aux actes à caractère génocidaire et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire à la population civile de la Bande de Ghaza.

Faisant fi de l'arrêt de la CIJ, les attaques des forces sionistes se sont poursuivies sans relâche, alors que les livraisons d'aide restent très insuffisantes pour faire face à la catastrophe humanitaire qui sévit dans l’enclave palestinienne sous blocus depuis près de deux décennies. 

Au moins 78 Palestiniens sont tombés en martyrs et 104 autres ont été blessés au cours des dernières 24 heures, alors que l'entité Sioniste poursuit ses attaques contre la Bande de Ghaza assiégée, a déclaré le ministère de la Santé à Ghaza. Le ministère a indiqué, dans un communiqué, que les forces d'occupation sioniste avaient commis huit massacres contre des familles de la Bande de Ghaza au cours des dernières 24 heures.

"De nombreuses personnes sont toujours sous les décombres et le long des routes, car les secouristes ne peuvent pas les atteindre", indique le communiqué, ajoutant que "72 % des victimes de l'agression des forces sionistes sur Ghaza sont des femmes et des enfants".

L'entité Sioniste mène une agression génocidaire contre la Bande de Ghaza, depuis le 7 octobre 2023, et a poussé 85 % de la population à se déplacer à l'intérieur du territoire, dans un contexte de pénurie de nourriture, d'eau potable et de médicaments, tandis que 60 % des infrastructures de l'enclave ont été endommagées ou détruites, selon les Nations unies.

L'entité Sioniste est poursuivie devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour crime de génocide. Un arrêt rendu en janvier a enjoint l'occupant sioniste de mettre fin aux actes à caractère génocidaire et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire à la population civile de la Bande de Ghaza.

Faisant fi de l'arrêt de la CIJ, les attaques des forces sionistes se sont poursuivies sans relâche, alors que les livraisons d'aide restent très insuffisantes pour faire face à la                         catastrophe humanitaire qui sévit dans l’enclave palestinienne sous blocus depuis près de deux décennies.  

                      Un rapporteur de l'ONU affirme que 70%  des maisons à Ghaza sont détruites  

Le rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit au logement, Balakrishnan Rajagopal, a affirmé que les destructions dans la bande de Ghaza sont sans précédent, affectant 70% des maisons, indiquant que ce qui se passe relève des crimes de génocide. En marge de sa participation à la 55ème session du Conseil des droits de l'homme des Nations Unies à Genève, Rajagopal a qualifié les actions de l'entité sioniste de "contre le système (des Nations unies) dans tous les sens du terme" suite à la décision de mesures de précaution prise par la Cour internationale de justice contre l'occupant sioniste le 26 janvier. Il a rappelé que la Cour a statué que l'entité sioniste ne devrait pas se livrer à des actes qui pourraient constituer un crime de génocide.

"L'entité sioniste mène des attaques avec des objectifs spécifiques qui signifient davantage de meurtres et de destructions, en particulier des violations du droit international. Malheureusement, il n'y a aucun doute que ce qui a commencé comme une agression avec quelques violations courantes du droit de la guerre s'est progressivement transformé en crimes contre l'humanité et maintenant en actes de génocide", a-t-il expliqué.

Il a souligné que les destructions à Ghaza sont "sans précédent" par rapport à d'autres conflits récents, notamment à d'autres villes détruites dans l'histoire. Il a souligné que 70% des maisons dans toute la bande de Ghaza ont été détruites, signalant que 80% des logements du nord de l'enclave ont été rasés, en plus de la destruction de l'ensemble des infrastructures civiles.

Au sujet de l'aide aérienne que les pays fournissent à Ghaza depuis la semaine dernière, Rajagopal a déclaré : "D'après les informations que j'ai reçues des organisations d'aide humanitaire et d'autres organisations de secours gérées par les Nations Unies sur le terrain, cette aide est très limitée et inefficace.

Elle ne suffit pas à répondre aux besoins réels de la population de Ghaza". Il a décrit l'incapacité de fournir l'aide nécessaire à Ghaza comme un "échec dangereux de l'humanité". L'entité sioniste mène une agression barbare et dévastatrice dans la bande de Ghaza depuis le 7 octobre 2023, faisant plus de 30.870 martyrs, pour la plupart des enfants et des femmes, en plus d'une catastrophe humanitaire sans précédent et d'une destruction massive des infrastructures, qui ont conduit l'occupant sioniste à comparaître devant la Cour internationale de Justice pour des "crimes de génocide".   

                                    Les colonies sionistes relèvent "du crime de guerre" (ONU)  

L'établissement et l'expansion de colonies sionistes dans les territoires palestiniens occupés relève "du crime de guerre" et "risque d'éliminer toute possibilité pratique d'établir un Etat palestinien viable", a mis en garde vendredi l'ONU. 
L'établissement et l'expansion continue des colonies "équivalent au transfert (par l'entité sioniste) de sa propre population civile vers les territoires qu'il occupe" et "de tels transferts constituent un crime de guerre", dénonce un rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme. 
"De tels transferts constituent un crime de guerre pouvant engager la responsabilité pénale individuelle des personnes impliquées", souligne le document. "La violence des colons et les violations liées aux implantations ont atteint de nouveaux niveaux choquants et risquent d'éliminer toute possibilité pratique d'établir un Etat palestinien viable", selon le rapport. Les informations publiées cette semaine selon lesquelles (l'entité sioniste) prévoit de construire 3.476 logements supplémentaires pour les colons vont à l'encontre du droit international, a déclaré Volker Türk, le Haut-Commissaire aux droits de l'homme, cité dans un communiqué publié à l'occasion de la parution du rapport. 
"La taille des colonies (sionistes) existantes s'est considérablement élargie" pendant la période considérée (novembre 2022- fin octobre 2023). Environ 24.300 unités de logement au sein des colonies sionistes existantes en Cisjordanie occupée ont été ajoutées au cours de cette période, le nombre "le plus élevé jamais enregistré depuis le recensement commencé en 2017". Cela comprenait environ 9.670 logements à El Qods-Est occupée, précise le document. 
"L'établissement et l'expansion continue des colonies (sionistes) illégales se produisent parallèlement au déplacement de Palestiniens du fait de la violence des colons (sionistes)" et de l'entité sioniste, note encore le rapport. 
A cela s"ajoutent "des expulsions forcées, de la non-délivrance de permis de construire, des démolitions de maisons et des restrictions de mouvement pour les Palestiniens". Fin décembre déjà, Volker Türk avait indiqué que "l'intensité de la violence et de la répression est du jamais vu depuis des années" en Cisjordanie occupée. 

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