Santé

Epidémie du Mpox : La Norvège est prête à faire face à la mpox (ministère)

Publié par DK NEWS le 20-08-2024, 17h13 | 12
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Le système sanitaire norvégien est bien préparé à gérer toute épidémie potentielle de mpox, suite à un dernier cas signalé dans la Suède voisine, a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué lundi.  

"Le risque d'infection par la mpox au sein de la population norvégienne est faible, selon l'Institut de santé publique", a déclaré le ministre de la Santé Jan Christian Vestre dans le communiqué.  

"Toutefois, des cas isolés peuvent encore se produire en Norvège, comme nous l'avons vu en Suède. Notre pays est doté d'une bonne préparation sanitaire, d'un système de santé au point et d'un large accès aux vaccins pour traiter efficacement les infections par le virus de la mpox", a-t-il ajouté.  

Jeudi dernier, les autorités sanitaires suédoises ont confirmé avoir identifié le premier cas de la variante plus infectieuse de la mpox, le clade I, dans le pays. L'agence suédoise de santé publique a indiqué qu'il s'agissait également du premier cas confirmé de cette variante en dehors de l'Afrique.  

L'agence suédoise de santé a noté que le Clade I se propage principalement par contact domestique et infecte fréquemment les enfants. Bien qu'il provoque une maladie similaire à la variante du clade IIb qui s'est répandue au niveau international en 2022, le clade I est considéré comme capable de provoquer une maladie plus grave et une mortalité plus élevée.

 

Afrique: plus de 18. 700 cas suspectés ou confirmés enregistrés depuis début 2024 (Agence)

 

L’agence de santé de l’Union africaine (Africa CDC) a fait savoir que "18. 737 cas suspectés ou confirmés de mpox ont été enregistrés depuis le début de l’année en Afrique, dont 1 200 en une semaine".

Dans un communiqué repris par des médias,  l’Africa CDC a précisé qu’"il s’agit de 3. 101 cas confirmés et de 15. 636 suspectés, tandis que 541 décès ont été enregistrés au total dans douze pays du continent", faisant remarquer que "plusieurs variants du virus ont été répertoriés".

La même source  a noté que "plus de cas ont été dénombrés depuis début 2024 que durant toute l’année précédente (14. 838)"

Pour rappel, en République démocratique du Congo (RDC), épicentre de l’épidémie, 16. 800 cas suspectés ou confirmés de mpox, ont été enregistrés.

 Les vingt-six provinces de la RDC - où habitent 100 millions de personnes - ont signalé des cas. Le Burundi, frontalier de la RDC, a enregistré, pour sa part, 173 cas (134 suspectés et 39 confirmés), un nombre de cas en hausse de 75 % en une semaine, selon les autorités.

La semaine écoulée, Africa CDC avait déclaré "une urgence de santé publique", son plus haut niveau d'alerte, face à l'épidémie de mpox en cours dans plusieurs pays du continent.

"Le mpox a désormais traversé les frontières, touchant des milliers de personnes à travers notre continent (...) J'annonce, le cœur lourd mais avec un engagement indéfectible envers notre peuple, envers nos citoyens africains, que nous déclarons le mpox comme une urgence de santé publique" continentale, a dit le président de l'Africa CDC, Jean Kasenya, lors d'une conférence de presse.

 

Madagascar: des mesures de prévention sanitaires renforcées contre la mpox

 

Les autorités malgaches ont décidé de renforcer les mesures sanitaires dans les ports et aéroports du pays pour prévenir la propagation de la mpox, a annoncé le ministère malgache de la Santé publique.

Ce renforcement concerne un protocole en place depuis 2022, dont l'application a été activée à la suite de la déclaration de l'urgence sanitaire internationale liée à la mpox", a ajouté la même source.  

Le directeur de la veille sanitaire et de la surveillance épidémiologique, Manuella Vololoniaina, a précisé dans une vidéo publiée la semaine dernière que "neuf points d'entrée à travers le pays étaient concernés par ces mesures".  

Les mesures incluent le port du masque, le respect d'une distanciation d'un mètre, le lavage des mains avec du gel désinfectant, et la désinfection des bagages.  

Le docteur Vololoniaina recommande également aux voyageurs de signaler tout malaise à leur arrivée. Elle assure qu'il n'y a pas encore de cas confirmé de cette épidémie à Madagascar à l'heure actuelle. 

 Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le virus Mpox est présent dans cinq pays d'Afrique, dont la République démocratique du Congo, le Burundi, le Kenya, l'Ouganda et le Rwanda.

 

Le mpox "n'est pas le nouveau Covid" (OMS)

 

Le monde en sait "déjà beaucoup" sur le mpox et l'on ne peut donc pas le considérer comme "le nouveau Covid", a affirmé mardi le directeur Europe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Hans Kluge.

"Le mpox n'est pas le nouveau Covid. Qu'il s'agisse du clade 1 du mpox, à l'origine de l'épidémie actuelle en Afrique centrale et orientale, ou du clade 2 du mpox, à l'origine de l'épidémie de 2022" dans le monde, a déclaré M. Kluge, lors d'un point de presse des agences de l'ONU.

"Nous en savons déjà beaucoup sur le clade 2. Il nous reste à en apprendre davantage sur le clade 1", a-t-il affirmé, en relevant que "nous savons comment lutter contre le mpox".

La recrudescence du mpox en République démocratique du Congo (RDC), portée par le clade 1b qui touche aussi le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l'Ouganda, a incité l'OMS à décréter le 14 août une urgence de santé publique de portée internationale, l'alerte sanitaire du niveau le plus élevé.

L'OMS avait déjà pris une telle décision en 2022 lorsqu'une épidémie de mpox, portée alors par le clade 2b, s'était étendue à travers le monde.

L'alerte avait été levée en mai 2023.

Anciennement appelé variole du singe, le virus a été découvert en 1958 au Danemark, chez des singes élevés pour la recherche. Puis en 1970 pour la première fois chez l'homme dans l'actuelle RDC (ex-Zaïre), précédemment connu sous le nom de clade du bassin du Congo puis sous le nom de clade 1, et désormais clade 1a suite à la récente découverte du variant 1b en RDC.

"Le clade 1a est ce que l'on appelait autrefois le clade du bassin du Congo" et les malades sont généralement contaminés par des animaux infectés, a indiqué la Dr Catherine Smallwood, du bureau européen de l'OMS.

En revanche, a-t-elle dit, "nous n'avons pas isolé ou détecté de transmission zoonotique du clade 1b". Selon l'experte, "il semble donc s'agir d'une souche du virus qui circule exclusivement au sein de la population humaine, et certains des changements viraux identifiés par les virologues nous montrent qu'il est probable qu'elle se transmette plus efficacement entre humains".

"Nous savons que le clade 1 est plus dangereux que le clade 2", a renchéri un porte-parole de l'OMS à Genève, Tarik Jasarevic, mais les spécialistes cherchent maintenant à savoir s'il existe une réelle différence entre le clade 1a et le clade 1b, en termes de gravité.

"Ce n'est que récemment que nous avons découvert le clade 1b, qui se propage rapidement (...) mais nous ne sommes pas encore sûrs de sa gravité", a-t-il ajouté.

 

Les Pays-Bas en alerte face à un nouveau variant du virus de la mpox

 

L'autorité de santé publique néerlandaise, RIVM, a annoncé lundi que les prestataires de soins de santé sont sur un pied d'alerte face à d'éventuelles infections dues à un nouveau variant du virus de la mpox.  

"Si un cas est détecté, le service municipal de santé procédera à une recherche des sources et des contacts et fournira des conseils pour prévenir toute transmission supplémentaire", a déclaré le RIVM. "La vaccination est disponible pour les contacts étroits. Les Pays-Bas disposent de stocks suffisants de vaccins."  

Chantal Reusken, virologue du RIVM, a indiqué aux médias locaux qu'il est probablement seulement une question de temps avant qu'un nouveau variant de mpox n'apparaisse aux Pays-Bas. Toutefois, le risque reste faible et la maladie est gérable grâce au solide système de santé du pays, a-t-elle ajouté.   La mpox, causé par un orthopoxvirus, était autrefois répandu en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale. Cependant, au printemps 2022, des cas ont commencé à émerger en Europe sans liens directs avec ces régions. Après un pic en été 2022, le nombre de cas a fortement diminué à l'automne. A ce jour, un total de 1.316 cas confirmés ont été recensés aux Pays-Bas.   En 2024, un variant plus mortel, le Clade 1b, est apparu en République démocratique du Congo (RDC) et dans les pays voisins. Le 14 août 2024, l'Organisation mondiale de la santé a déclaré la mpox comme une urgence de santé publique de portée internationale, activant ainsi son plus haut niveau d'alerte mondiale pour la deuxième fois en deux ans. Le 15 août, la Suède a signalé le premier cas du nouveau variant en dehors de l'Afrique.  

 

la RDC espère recevoir les premières doses de vaccins la semaine prochaine

 

La République démocratique du Congo (RDC) espère recevoir les premières doses de vaccins contre l'épidémie de mpox la semaine prochaine dans ce pays où la maladie a déjà fait au moins 570 morts, a déclaré lundi le ministre de la Santé.

Pays le plus touché, la RDC a enregistré 16.700 cas,"avec un peu plus de 570 personnes décédées" depuis le début de l'année, a indiqué le ministre Samuel-Roger Kamba lors d'une conférence de presse.

"Nous avons deux pays essentiellement qui nous ont promis des vaccins. Le premier pays, c'est le Japon. Et le deuxième pays, ce sont les Etats-Unis d'Amérique", a-t-il dit.

Les Etats-Unis ont promis 50.000 doses, tandis que le "Japon a signé ce matin (lundi) avec les autorités pour 3,5 millions de doses, uniquement pour les enfants", a expliqué un responsable de la cellule de riposte.

Pays d'environ cent millions d'habitants, la RDC "compte vacciner 4 millions de personnes dont 3,5 millions d'enfants", a ajouté cette source.

"J'espère que la semaine prochaine, on pourrait déjà voir arriver les vaccins (...) Notre plan stratégique de réponse à la vaccination est déjà prêt, nous attendons juste que les vaccins arrivent", a insisté le ministre.

La maladie "touche de plus en plus de jeunes. Et on a beaucoup d'enfants de moins de quinze ans qui sont touchés", a-t-il dit.

L'épidémie actuelle est caractérisée par un virus plus contagieux et dangereux, avec un taux de mortalité estimé à 3,6%.

La recrudescence du mpox en RDC, qui touche aussi le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l'Ouganda, a poussé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à déclencher mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international.

La RDC est le foyer et l'épicentre de l'épidémie actuelle dont la propagation d'une souche plus dangereuse du virus suscite une inquiétude croissante en Afrique et au-delà.

En dehors d'Afrique, les cas de mpox ont été diagnostiqués en Suède, au Pakistan et aux Philippines.

Anciennement appelé variole du singe, le virus a été découvert en 1958 au Danemark, chez des singes élevés pour la recherche. Puis en 1970 pour la première fois chez l'homme dans l'actuelle RDC (ex-Zaïre).

Le mpox est une maladie virale qui se propage de l'animal à l'homme mais se transmet aussi via un contact physique étroit. La maladie provoque de la fièvre, des douleurs musculaires et des lésions cutanées.

"Ne consommez pas la viande d'animaux morts, ne touchez pas aux animaux malades, parce que c'est aussi une façon de se contaminer", a lancé le ministre Kamba.

 

Le cas de mpox détecté au Pakistan n'est pas lié à la souche africaine (autorités)

 

La souche du mpox détecté chez un patient au Pakistan la semaine dernière n'est pas celle du virus qui sévit actuellement en Afrique, ont indiqué lundi les autorités sanitaires du pays.

Le Pakistan avait annoncé vendredi dernier avoir diagnostiqué un cas de mpox, sur un patient de 34 ans. Un séquençage génétique de la souche vient d'être effectué.

"Le virus appartient au sous-type clade 2b", a annoncé le ministère pakistanais de la Santé dans un communiqué.

"Actuellement l'épidémie en République démocratique du Congo (RDC) est associée en premier lieu au Clade 1b. Il est à noter qu'à ce jour, aucun cas de Clade 1b n'a été rapporté au Pakistan", poursuit le ministère.

Jeudi dernier, la Suède avait annoncé avoir enregistré un cas de sous-type clade 1b, la même nouvelle souche de mpox qui a fait son apparition en RDC depuis septembre 2023, et le premier cas hors d'Afrique.

La recrudescence du mpox en RDC, qui touche aussi le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l'Ouganda, a poussé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, l'alarme la plus élevée. La RDC a enregistré au moins 16.000 cas, dont 548 mortels.

Anciennement appelé variole du singe, le virus a été découvert en 1958 au Danemark, chez des singes élevés pour la recherche. Puis en 1970 pour la première fois chez l'homme dans ce qui est aujourd'hui la RDC.

Le mpox est une maladie virale qui se propage de l'animal à l'homme mais se transmet aussi via un contact physique étroit. La maladie provoque de la fièvre, des douleurs musculaires et des lésions cutanées.

 

L'Europe doit agir avec solidarité avec l'Afrique (OMS)

 

L'Europe doit agir avec solidarité avec l'Afrique pour faire face à la recrudescence du mpox, a plaidé lundi le Dr Hans Kluge, directeur régional de l'OMS pour l'Europe.

Estimant que c'est sur le continent africain que la nécessité d'une réponse coordonnée se fait le plus sentir, le Dr Kluge qui s'exprimait lors d'un point de presse régulier, a affirmé que "l'Europe doit choisir d'agir avec solidarité" avec la région africaine de l'OMS et ses Etats membres, à la fois en ce moment critique et à long terme. D'autant qu'en 2022, la variole avait montré qu'elle pouvait se propager rapidement dans le monde entier.

Pour l'OMS, le monde peut et doit "lutter ensemble contre le Mpox dans toutes les régions et sur tous les continents".

"Alors, allons-nous choisir de mettre en place les systèmes nécessaires pour contrôler et éliminer la variole à l'échelle mondiale ? Ou entrerons-nous dans un nouveau cycle de panique et de négligence ? s'est demandé le Dr Kluge, soutenant que "la façon dont nous réagissons aujourd'hui et dans les années à venir constituera un test critique pour l'Europe et le monde".

Cette précision de l'OMS intervient alors que "chaque mois une centaine de nouveaux cas de clade II du Mpox sont signalés dans la région européenne".

Le cas de la variante a été confirmé la semaine dernière en Suède et est lié à une épidémie croissante en Afrique.

La recrudescence du Mpox en République démocratique du Congo (RDC), portée par le clade 1b qui touche aussi le Burundi, le Kenya, le Rwanda et l'Ouganda, a incité l'OMS à décréter le 14 août une urgence de santé publique de portée internationale, l'alerte sanitaire la plus élevé.

Lundi, l'OMS a émis de nouvelles consignes pour les pays en proie à une épidémie de Mpox. Il est notamment demandé de renforcer la coordination entre pays.

L'Agence sanitaire mondiale de l'ONU a ainsi recommandé aux pays touchés par le variant de lancer des plans de vaccination dans les zones où des cas sont apparus.

L'objectif est de cibler "les personnes à risque d'infection élevé (par exemple: les contacts des cas, y compris les contacts sexuels, les enfants, les travailleurs de la santé et le personnel soignant)".

Concernant le transport international, l'OMS recommande d'"établir ou renforcer les accords de collaboration transfrontalière concernant la surveillance et la gestion des cas suspects de Mpox, la communication d'informations aux voyageurs et aux entreprises de transports".

Mais cela doit être mis en œuvre "sans recourir à des restrictions générales sur les voyages et le commerce qui auraient un impact inutile sur les économies locales, régionales ou nationales", a préconisé l'OMS.

 

Le gouvernement du Congo va débloquer 49 millions USD pour lutter contre l’épidémie de Mpox

 

Le gouvernement congolais va débloquer 49 millions USD pour lutter contre l’épidémie de Monkeypox, maladie qui sévit dans presque toutes les provinces de la RDC, a annoncé le ministre de la Santé, Hygiène et Prévoyance sociale, Roger Kamba.

Le ministre a indiqué, lors d'une conférence de presse, que ce montant concerne l'ensemble de la riposte, sans compter le coût du vaccin.

Cette enveloppe budgétaire est destinée à couvrir les opérations de déploiement, de prise en charge, de surveillance, ainsi que les activités de laboratoire.

En ce qui concerne le vaccin, a indiqué Roger Kamba, le besoin est de 3,5 millions de doses, d’une valeur de 600 millions USD.

Il recommande par ailleurs des attitudes à adopter pour stopper cette épidémie. "Les animaux morts d’eux-mêmes, il ne faut pas y toucher parce qu’on ne sait pas de quoi ils sont morts. Les animaux qui présentent des signes de maladie, il ne faut pas y toucher", a-t-il notamment conseillé, appelant à éviter des contacts directs avec quelqu’un qui est malade.

Selon Roger Kamba, quand la prise en charge et bonne, la mortalité diminue. La riposte va aussi s’appuyer sur la vaccination.

"Je voudrais vraiment faire passer un message : quand on va commencer le vaccin, on va d’abord privilégier les zones les plus à risque. Il faut que tout le monde nous aide à ce que ce vaccin, qui coûte très chère, puisse atteindre la personne qui en a vraiment besoin", a recommandé M. Kamba.

Le pays a enregistré 15 664 cas potentiels et 548 décès depuis le début de l’année.

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