La Guinée vient d'enregistrer son premier cas confirmé de Mpox, a annoncé lundi l'Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSS).
Selon les données épidémiologiques de l'ANSS consultées sur sa page Facebook, ce premier cas a été confirmé chez une petite fille de sept ans, dans la préfecture de Macenta (sud-est).
Le 27 août, le pays a répertorié neuf cas suspects de Mpox, selon l'agence.
Face à la menace de la maladie, le ministère guinéen de la Santé et de l'Hygiène publique a assuré que les équipes d'intervention rapide, les centres des opérations d'urgence, les laboratoires de diagnostic ainsi que les centres de traitement des maladies épidémiologiques étaient préparés à prendre en charge d'éventuels cas suspects et/ou confirmés.
Jordanie: les autorités annoncent un cas
Le ministère jordanien de la Santé a enregistré un cas de mpox chez un homme âgé de 33 ans, a rapporté lundi l'agence de presse (Petra), assurant que le cas était actuellement en isolement.
Le ministère de la Santé a déclaré que "le cas n'était pas le premier dans le royaume, puisqu'il en avait déjà enregistré un en 2022".
Le ministère a indiqué qu'il s'agissait d'un homme de 33 ans, sans préciser sa nationalité.
Le 14 août dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que le mpox (anciennement connue sous le nom de variole du singe) était une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, alors qu’une nouvelle variante de la maladie se propageait rapidement en Afrique.
