En ce mois de novembre 2014, le tribunal criminel près la Cour d’Alger prononce le verdict d’un jeune homme âgé de 35 ans accusé d’avoir donné la mort à son amie.
Amina âgée de 30 ans perd sa virginité, son ami lui a promis de venir la demander en mariage. Après, elle réalise que ce n’était que mensonge, Amina supplie Kamel, mais ce dernier refuse.
Une dispute violente éclate entre eux, Kamel aveuglé par la colère s’empare d’un bâton frappe Amina sauvagement. Amina rend l’âme sur le coup. Quelques jours plus tard, une judicieuse enquête permet de procéder à l’arrestation de l’auteur présumé du crime.
L’individu niera les griefs retenus contre lui, pressé de questions, il avoue finalement son acte.
Kamel fut emprisonné pour meurtre en endossant les articles 30, 254 et 263 alinéa 3 du code pénal.
Le jour du procès, en ce mois de novembre 2014, répond du meurtre sur la personne de son amie Amina Présenté à la barre, l’accusé Kamel reconnut tous les faits retenus contre lui. Le représentant du ministère public, qui, dans un long réquisitoire, met en exergue la gravité des faits et requiert une peine de 20 ans de prison ferme à l’encontre de l’accusé.
L’avocat de la défense demande la requalification du chef d’accusation en coups et blessures ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner et demande d’accorder les circonstances atténuantes.
Après de longues délibérations, la cour condamne Kamel à 16 ans de réclusion criminelle pour homicide volontaire sur la personne de son amie.
