Depuis ses révélations, l’agent Edward Snowden vit en exil forcé en Russie d’où il tente de justifier son combat pour faire éclater la vérité et aider à une prise de conscience sur les dérives totalitaires d’Etats dits démocratiques, dont les Etats Unis d’Amérique. Dans ce cadre, il a pris part, décembre dernier à une visioconférence organisée depuis Paris par une association de défense des droits de l’Homme.
Dans le compte rendu de presse fait sur cette actualité, le site latribune.fr, fait dire à Edward Sbowden que par ses révélations « sur la surveillance à grande échelle, je ne voulais pas changer le monde et le fonctionnement de mon gouvernement, mais leur montrer qu'ils étaient censés nous représenter, pas nous espionner.
Car nous sommes devenus des «sujets » du gouvernement." ». L’ancien agent du renseignement, convaincu de travailler pour une prise de consciences mondiale de ces dépassements, estime : «Quand les gens commencent à comprendre l'impact de cet espionnage, on peut envisager un début d'évolution politique. Ils deviennent plus citriques contre les programmes proposés par leur gouvernement », peut-on lire sur latribune.fr
