Régions

Amizour : Une commune atypique et sevrée de développement

Publié par A.B. le 06-07-2015, 17h20 | 2008
|

«Le décollage économico-industriel d’Amizour reste «atrocement» tributaire de la création d’une importante zone d’activité»

Ce propos-constat, qui résonne comme une véritable élégie d’un responsable-élu dont la seule égérie semble indéniablement n’être que son seul amour pour sa commune, son berceau, est de M. Mokhtar Bouzidi, l’actuel P/APC d’une commune en quête éperdue de développement. Un amour empreint de certaine fierté d’appartenir au « cœur géographique » de la Vallée de la Soummam.

D’aileurs, à la question de DK News à propos de sa « couleur politique » en tant qu’élu, M. M.Bouzidi répond «  Ma couleur politique c’est… Amizour, Béjaïa, l’Algérie ! », avant d’ajouter : « Je suis un militant du FFS et fier de l’être ». Une hirondelle ne faisant pas le printemps, seule «Alexo», une entreprise privée d’extrusion aluminium profilé a surgi, il y a quelques années, dans ce « décor » semi-désertique, semi- (maladroitement) urbanisé, implantée à l’entrée de la ville à l’oued à jamais tari et hyper pollué.

Aucune autre entité industrielle, depuis le recouvrement de l’indépendance, n’a encore vu le jour sur le territoire de cette commune classée 03ème en termes de population (nombre d’habitants) derrière Bejaia chef-lieu et Akbou. Une commune que traversera bientôt, sur un trajet de 18 km, la pénétrante autoroutière de l’autoroute Est-Ouest, atypique de surcroît eu égard à sa situation géographique tout à fait particulière…Nous verrons pourquoi.

En attendant, l’image fort sympathique que l’on ne peut qu’avoir d’Amizour, en dehors de ses « signes particuliers » que sont ces vastes terres généreuses gorgées de divers fruits et légumes ( le détail plus loin), c’est ce sens de l’humour propre à la région… « Ouadamizour» pour respecter l’authentique et éternelle enveloppe phonique du toponyme.

 Nous nous souviendrons toujours, en effet, de ces années 1969 (19)80, alors que nous exercions à Amizour respectivement en qualité de professeur de cycle moyen au collège Emir Abdelkader ( Français et Anglais) puis de Directeur des études (Censeur de lycée) à l’unique lycée d’Amizour, à l’époque. En attendant l’arrivée d’un bus pour rentrer à Bejaia, nous ne pouvions nous empêcher d’étouffer de rire en lisant un placard publicitaire « punaisé » contre le tronc d’un arbre (30/30cm) proposant : « Vends âne année 1978, d’une docilité et d’un calme olympien, beaux yeux marron et joli poil belge (comprendre « beige »), W, résistance garantie ».

Ou alors ces bribes de dialogue à l’intérieur d’un bus entre une passagère et un chauffeur (d’Amizour) débordant d’humour : La passagère : «  Chauffeur, il y a trop de vent et de courant d’air ici… ». Et le chauffeur de répliquer tout spontanément : «Estimez-vous heureuse, madame, que vous n’ayez pas payé plus cher votre place…». La dame : « Et pourquoi donc ? ». Le chauffeur : « Parce que vous êtes dans un …Air-Bus dernière génération, madame ! ».

Une autre fois, c’était une drôle de situation qui n’avait d’ailleurs pas manqué de générer une hilarité collective dans un car Bejaia-Amizour : L’un des passagers transportait avec lui deux plants de caoutchouc tous les deux d’une longueur de pas moins de 5 cm chacun, avec un feuillage assez fourni, déjà !  Assis près d’un autre passager juste derrière le chauffeur, «l’Amizourien» ne cessait de s’excuser auprès de son voisin pour le feuillage qui lui obstruait la vue sur la route et même lui « caressait » la joue droite…Le même chauffeur connu pour son sens de l’humour intervint alors pour dire : « …Au contraire, c’est, là, un bus écologique, c’est le Jardin d’essai ambulant ! même aux Etats Unis ça n’existe pas, ce genre de bus… ».

Amizour n’est plus, bien sûr, ce qu’«il» (ou « elle » ?) était dans les années 1970, 1980… Excepté son « mythique » Oued (Oued Amizour est en fait l’authentique toponyme de cette (désormais) ville), hélas plus que jamais hyper sec et, surtout, hyper pollué, la commune a subi bien des transformations, aussi bien au plan urbanistique (bien que pas de façon frappante…) qu’industriel. Et l’inévitable corollaire en est né, à savoir une nette évolution (assouplie) des mentalités.

L’on aperçoit, par exemple, de plus en plus de femmes et de jeunes filles circuler dans les artères de la ville, chacune vacant à ses occupations, absolument saines, d’ailleurs. Collégiennes, lycéennes, étudiantes, ménagères mères de familles…Des salons de coiffure femmes y ont ouvert leurs portes…

Le commérage s’est considérablement estompé, de loin, très loin, même, d’une certaine longue époque où, perchés sur des chaises d’un café « connu », surplombant les principales rues, des individus, désoeuvrés, guettaient la moindre «anomalie»- comme, par exemple, une femme déambulant à l’extérieur, surtout si elle est vêtue «d’une certaine façon (trop à l’européenne…)- ou alors un jeune couple défiant le conformisme ambiant et étouffant, bras dessus bras dessous… Rien de tout cela depuis quelque temps, désormais, avons-nous constaté. Des résidus de ce type de comportements rétrogrades subsistent, certes, mais tendent à se résorber d’eux-mêmes, faute d’audience crédule et complice.

Au pays de Ramtane Lamamra (actuel ministre des Affaires étrangères et des relations internationales)
Amizour est fier(e) de certains de ses enfants, dont, forcément, M. Ramtane Lamamra qui est bien de chez eux ! « …et c’est le ministre des Affaires étrangères !», s’exclament certains habitants. Au point où une espèce de légende (« non, ce n’en est pas une, c’est tout simplement une vérité ! » insiste un Amizourien)  s’est, au fil du temps, tissée autour de l’éminent diplomate et non moins chef de la diplomatie algérienne : « Lamamra, quand il était à peine collégien, au lieu de dépenser son argent de poche dans les friandises, les sodas, avait plutôt tendance à acheter des journaux, des hebdos comme Jeune Afrique, Afrique Asie… Très jeune dejà, il était mordu de politique ! Une vocation sans conteste !», renchérit un autre sexagénaire.

Nous avons été en pèlerinage, jeudi 2 juillet 2015, dans l’après-midi, à ce modeste mais devenu l’un des symboles d’Amizour, sanctuaire du savoir, en l’occurrence le collège Emir Abdelkader que fréquenta M. Ramtane Lamamra dans les années 1966/67/68/69… Il ne peut que se souvenir de ses professeurs, dont MM. Abdelkader Laïb (Anglais), El Djoudi Ouzaïche, Hocine Bouzidi, Paul Missoum, le grand Taguiche, le Sétifien volleyeur, enseignant de sport, Mustapha Bensadi (Anglais en 4e AM)…

Nous sommes rentrés dans les salles de classe où nous avons enseigné quelque temps, sous l’inéluctable avalanche de souvenirs et d’émotions…C’était en 1969, que c’est loin, très loin et pourtant si proche, aussi… Paradoxes de l’affect et de la mémoire conjugués !

Retour dans le bureaude M. le maire…
«Amizour est le cœur géographique de la wilaya ! Nous avons un arrière-pays extrêmement important en ce sens qu’il « dépasse » (en termes de proximité géographique, de relations humaines et d’influence de type sociologique) les frontières de notre wilaya.

Un exemple : Nombreux sont les citoyens d’Aït Mohli et de Bouandas (wilaya de Sétif), qui se rendent régulièrement à Amizour pour y commercer… Il est à noter également cette remarquable propension chez ces gens-là à l’exode, aimant s’établir à Amizour. Cette commune, sans conteste, constitue un important pôle administratif et social, il lui manque affreusement un pôle économico-industriel.

Pourtant, ce ne sont pas les assiettes de terrain qui manquent, et, surtout que l’on cesse d’agiter ce sempiternel argument fallacieux qui consiste à invoquer la « vocation agricole » des terrains. Car de toute évidence, il n’existe pas un seul terrain qui ne soit « à vocation agricole », je suis fils d’agriculteur, je sais donc ce dont je parle mais il faut bien un terrain des terrains pour l’industrie ! Une zone industrielle à Amizour signifie (le corollaire) investissement, emploi et ressources fiscales…

L’argumentation «vocation agricole» est à mon sens une argumentation de blocage ! Faut-il rappeler que l’agriculture n’a jamais réglé le problème du chômage, notamment depuis l’avènement de l’ère moderne. C’est par l’agro-industrie que l’on règle le problème de l’emploi… ». Ainsi s’est épanché à DK News M. Mokhtar Bouzidi, le P/APC d’Amizour, un Monsieur d’une courtoisie remarquable et, surtout, d’une très bonne instruction (ancien cadre du secteur de la santé à la wilaya de Béjaïa). (Manipulant son téléphone portable quelques instants suite à un appel, M. le maire, à la fin de la communication, déplore le fait que les P/APC ne bénéficient pas de puces…).

Amizour aujourd’hui, Chef-lieu de daïra regroupe 04 communes : Amizour, Beni Djellil, Feraoun et Semaoun. La seule commune d’Amizour compte 74 villages et hameaux et est constituée de 43 000 habitants. Amizour-ville dispose de 02 lycées, 05 CEM, 20 écoles primaires, 01 CFPA ainsi qu’une structure annexe de formation paramédicale. Volet santé, 01 hôpital de 240 lits (Hôpital Benmerad) situé au lieu-dit El Bordj, sur les hauteurs de la ville et qui jouit d’une excellente réputation, avec, notamment, son service d’oncologie qu’animent des spécialistes et des paramédicaux compétents, dévoués et pleins d’abnégation, l’unique dans toute la Vallée de la Soummam d’ailleurs.

On y vient de partout, même d’autres wilayas, apprend-on (et avons-nous constaté, en effet, nous-mêmes, sur les lieux…). «… Mais une seule polyclinique pour 43 000 âmes c’est très largement…insuffisant ! Nous avons un déficit criant en matière de structures de santé de proximité !» souligne le maire d’Amizour, M. Mokhtar Bouzidi (ô combien placé en tant qu’ex-cadre dans le domaine à la wilaya de Béjaïa).

Le P/APC ne manque cependant pas de faire part de sa satisfaction de constater l’imminence de l’ouverture (la prochaine rentrée universitaire 2015/2016) d’une faculté de droit et d’un département architecture dans sa commune. Rue Colonel Amirouche (Centre-ville), nous sommes rentrés dans la librairie Bourouina pour acheter le seul exemplaire restant de DK NEWS et en avons profité pour faire un brin de causette avec le gérant-propriétaire ( ?), Noureddine Bourouina.

Avec lui, nous en sommes arrivés à parler des « symboles d’Amizour ». « …L’état de dégradation avancé et l’abandon pur et simple de l’ancienne poste datant de l’ère coloniale, située en plein centre-ville (juste en face de la librairie) nous fait très mal.

Elle a reçu le coup de grâce au cours des événements de 2011, sous le dernier statut de CPA ! C’était l’un des repaires historique d’Amizour, avec les deux cafés maures, celui de Hocine Hadj Tayeb qui faisait en même temps office de dortoir, le soir tombé, accueillant les moissonneurs de Bouandas, à l’époque (les années 1950, 1960…) et celui de Bourouina.

L’autre symbole-repaire du vieil Amizour c’est l’établissement scolaire Emir Abdelkader, ancienne école primaire devenue CEM, il y a également le Cnea, l’église catholique… Celle-ci, attenant à la polyclinique actuelle (face au siège de la daïra), est réduite à quelques pans à peine, ruines et désolation. C’est pourtant un lieu de culte doublé de repaire historique que les autorités devraient sauvegarder… L’Islam, dans sa grandeur et toute sa splendeur intrinsèques, sa quintessence subtile et divine est absolument respectueux de tout lieu de culte des Gens du Livre…

Amizour : aperçu historique
Voici ce que l’on apprend dans un document remis à DK News à propos du passé d’Amizour : « La création d’Amizour (ex-Colmar») remonte à 1871, après séquestration des terres des tribus des Ouled Tamzalt (Aït Tamzalt), des Senhadja et des Barbacha.

Sa création est officiellement prononcée en 1872… induisant l’installation de 23 familles originaires de 03 départements français qui sont la Moselle, le Bas Rhin et le Haut Rhin… En 1942,  1500 hectares des terres agricoles étaient occupés par des vignobles (vocation vinicole dont la production était estimée à 150 000 ha de vin). En 1951, le douar Azrou M’Bechar qui faisait partie du territoire de la commune d’Amizour éclate et forme 03 communes nouvelles dénommées Ighilialouanene, Taddert Tamokrant, Tal Ouaghras qui, au lendemain de l’indépendance, seront rattachées à la commune d’Amizour. Dans les années 1980, elle perd au profit de la commune de Tala Hamza une partie de son territoire dont Tala Ouaghras et Marj ouamane.

En 1975, elle est promue Chef-lieu de daïra, constituée de 04 communes, à savoir Amizour, Beni Djellil, Feraoun et Semaoun. La ville d’Amizour est située à 25 km de Bejaia. Elle est limitée au nord par la commune de Tala Hamza, à l’ouest par la commune d’El Kseur, au sud par les communes de Feraoun, Barbacha et Kendira et au nord-est par la commune de Boukhlifa. 

Ses 08 agglomérations secondaires sont Marj ouamane, SIDI Ali Oussaâda, Lakhmis, Afra, El Hamma, Xantina, Ahmam, Aït Oumaouche ainsi qu’une zone éparse constituée de plusieurs hameaux et autres lieuxdits ». Mais Amizour c’est aussi la saga de la famille de Abdelmadjid Ourabah (décédé en octobre 1967) sur laquelle il est probable que nous revenions dans un article « spécial ».

Un « dossier » épineux et tout aussi passionnant, bouillonnant de controverse et de polémique, malheureusement, aussi, marqué de stigmates de certain déni ?.. « …Ces propos malintentionnés d’ignorants et/ou de « revanchards » s’appuient sur le fait que Abdelmadjid Ourabah fut un élu Sénateur.

Ses mandats de parlementaire régulièrement élu de 1937 à 1951 font partie de l’histoire de ce pays. De grands dirigeants de la Révolution comme Ferhat Abbas ou Lamine Debaghine, ou encore beaucoup d’autres Résistants ont  bien eu à assumer, eux aussi, des mandats de parlementaires algériens autochtones sous la colonisation. 

Est-ce pour autant que ce sont des traitres ? 1957 : Délégation conduite par Abdelmadjid Ourabah auprès de Ferhat Abbas et Lamine Debaghine pour des pourparlers entre le gouvernement français et le FLN… » (extraits d’une correspondance des héritiers Ourabah destinée aux plus hautes autorités de l’Etat)… C’est dire combien cette « saga » est indissociable de l’histoire (récente) d’Amizour (Guerre de libération nationale) dans sa perception objective et dépassionnée autant que faire se peut, en n’omettant surtout pas l’hommage dû à ces personnalités historiques de la région que sont MM. Maouchi Ahmed, Mehdi Abdelhamid, Zaïchi Sadek, Driès Salah, Mezghiche Hocine, Azzoug Smaïl, Hadjara Mohand Ouchabane, Benali Abdelkader, Atmani Yahia, Yahiaoui Md Amokrane. Sur les hauteurs d’Amizour, Taddert Tamokrant ou, plus précisément, Aït Kharoun, une région qui, à elle seule aussi, mérite tout un reportage, eu égard, notamment, à la contribution de sa population-ses meilleurs enfants-à la guerre de libération nationale. Quel lourd tribut paya-t-elle, en effet !..Nous y reviendrons, pourquoi pas…Inch’Allah.

 La nature
La faune : (Domestique) élevage ovin et caprin. (Sauvage) : Le sanglier, le lapin, le chacal. Les espèces d’oiseaux : le merle, le pigeon, la grive et la cigogne (oiseau citadin). Les céréales courantes dans la région sont le blé, l’orge et le maïs, alors que les arbres fruitiers les plus répandus sont producteurs d’agrumes (oranges, citron, clémentine), aux côtés du poirier, du pommier, de l’abricotier, du prunier, du néflier, du grenadier, de l’amandier, de l’olivier, du figuier et du vignoble.

Il est à rappeler que le raisin, l’orange, la clémentine d’Amizour ont un cachet particulier, particulièrement cotés, prisés… Les variétés agricoles du terroir ne sont pas en reste. Il s’agit, notamment, de l’olive, de la figue de barbarie, de la figue, de la figue sèche, des câpres, du miel pur d’abeilles et autres caroube, toubrast, le lentisque (tidhekhth) et myrthes (chilmoune)… Tandis que les arbres sauvages sont le chêne liège, le chêne zen.

La commune dispose, en outren de 18 sources « réputées », affirme-t-on. Les huileries traditionnelles, quant à elles, refusent de disparaître…Volet tourisme : Insignifiant ! La commune ne dispose que d’un hôtel unique, de surcroît non classé, et d’une agence de voyage… unique mais, fort heureusement, très entreprenante et dynamique, innovante, il s’agit d’Amizour Tour.

Les infrastructures culturelles se résument  à un modeste centre culturel Malek Bouguermouh d’une capacité d’accueil de 300 places, d’une bibliothèque municipale, une salle de lecture d’une capacité d’accueil de 70 places. Non, il est grand temps que l’ «on» se penche un peu plus sur le devenir d’Amizour, que l’on enclenche une opération d’envergure consistant à assainir et réhabiliter son oued envahi, infesté, ravagé par des tonnes d’immondices, de détritus de toutes sortes, de vase, saturé d’eaux usées, un gigantesque égout à ciel ouvert qui humilie la très sympathique amie de l’humour, la trop résignée Amizour…
 

|
Haut de la page

CHRONIQUES

  • Walid B

    Grâce à des efforts inlassablement consentis et à une efficacité fièrement retrouvée, la diplomatie algérienne, sous l’impulsion de celui qui fut son artisan principal, en l’occurrence le président de la République Abdelaziz Bouteflika, occupe aujour

  • Boualem Branki

    La loi de finances 2016 n’est pas austère. Contrairement à ce qui a été pronostiqué par ‘’les experts’’, le dernier Conseil des ministres, présidé par le Président Bouteflika, a adopté en réalité une loi de finances qui prend en compte autant le ress

  • Walid B

    C'est dans le contexte d'un large mouvement de réformes sécuritaires et politiques, lancé en 2011, avec la levée de l'état d'urgence et la mise en chantier de plusieurs lois à portée politique, que ce processus sera couronné prochainement par le proj

  • Boualem Branki

    La solidité des institutions algériennes, la valorisation des acquis sociaux et leur développement, tels ont été les grands messages livrés hier lundi à Bechar par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales Nouredine Bédoui.

  • DK NEWS

    Le gouvernement ne semble pas connaître de répit en cette période estivale. Les ministres sont tous sur le terrain pour préparer la rentrée sociale qui interviendra début septembre prochain.

  • Walid B

    Dans un contexte géopolitique régional et international marqué par des bouleversements de toutes sortes et des défis multiples, la consolidation du front interne s'impose comme unique voie pour faire face à toutes les menaces internes..

  • Walid B

    Après le Sud, le premier ministre Abdelmalek Sellal met le cap sur l'Ouest du pays où il est attendu aujourd'hui dans les wilayas d'Oran et de Mascara pour une visite de travail et d'inspection.