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Aïn Defla : Le conseil administratif de Khemis Miliana, met fin aux fonctions du directeur chargé du centre culturel

Publié par Salim Ben le 21-07-2015, 18h23 | 91
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Suite aux multiples problèmes et bras de fer entre les travailleurs du centre culturel et le directeur chargé du centre, le conseil administratif de la ville de Khemis Miliana a mis fin du contrat du ce directeur chargé.

Effectivement, le conseil d'administration a décidé, à l'unanimité, de mettre fin aux fonctions de ce directeur  « qui n'a rien apporté au centre culturel de la ville depuis son installation, mais plutôt il abusé de son pourvoir pour  se venger des travailleurs qui attendent toujours leur salaire » expliquent les travailleurs, dans une correspondance adressée à notre bureau.

«Depuis l'arrivée de ce responsable qui n'était que le veilleur de nuit de ce même centre, aucune activité culturelle n'a eu lieu, même durant le mois du Ramadhan où le centre était dans un temps passé source des activités et loisirs pour les jeunes de Khemis Miliana » ajoutent-ils.

Selon certains élus «le maire de la ville, était incapable de réagir, devant les dépassements flagrants de ce directeur, et ce,  malgré la correspondance du chef de daïra qui autorise le maire à diriger le centre jusqu'au jour où le wali tranchera définitivement et aussi malgré l'agression flagrante de ce directeur avec 12 personnes étrangers du centre (des amis et membres de la famille) qui sont venus et brisé les cadenas et envahi le centre avec force et ce, au vu et au su des policiers.

Nous avons essayé de toucher le maire et le chef de daïra mais en vain, alors que le chargé de la communication de la police nous a expliqué que la présence de leur éléments était suite à une plainte de ce directeur chargé « qui a driblé tout le monde avec ses fausses déclarations » selon les travailleurs.

Une plainte a été déposée auprès du procureur général de la cour  d'Ain Defla afin de dévoiler les circonstances de cette agression où l’individu  a été grâcié par certains responsables, en absence du wali » selon les travailleurs.Ce qui est sûr c'est que cette histoire a fait couler beaucoup d'encre à cause des multiples interventions d’en hauts  et pourtant les choses sont claires.

 

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