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Le Président se porte bien et suit quotidiennement les affaires de l’Etat : Échec aux détracteurs !

Publié par Walid. B le 22-11-2015, 13h38 | 44
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En affirmant que c’est le président de la République lui-même qui gouverne le pays, gère les affaires de l’Etat et donne ses instructions au quotidien, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, aura ainsi mis fin à toutes les spéculations et répondu, de manière catégorique, à ceux qui doutaient encore de la capacité du chef de l’Etat à assumer pleinement les prérogatives que lui confère la Constitution.

A ceux qui se sont habitués à manger dans tous les râteliers et à danser dans toutes les fêtes, et qui sont passés maîtres dans l’art de la diffamation et de la spéculation, le Premier ministre a rétorqué par un message clair et net. Il a tenu à lever toutes les équivoques, ne laissant aucun doute subsister sur la santé du Président et sa capacité à diriger le pays.

Abdelmalek Sellal a donc remis les pendules à l’heure en réaffirmant, une fois de plus, que le pays est dirigé par le président de la République et que les grandes décisions ne sont prises que par lui-même ou avec son assentiment.

«Je me déplace beaucoup dans le pays», dira-t-il, et tout le monde sait que le Président a beaucoup fait pour le pays et «si aujourd’hui nous arrivons à faire face à une chute drastique de nos recettes, c’est grâce à deux mesures prises par le Président ».

Pour étayer ses propos, citera la décision de rembourser la dette par anticipation et celle de créer un fonds de réserve qui peut permettre à l’Algérie de passer le cap sur trois à quatre années.

Il s’agit d’un véritable camouflet à ceux qui se reconnaissent dans l’opposition ou ceux qui se sont regroupés au sein du groupe des 19 pour semer le doute et la suspicion sur un Président qui supervise quotidiennement l'exécution de son programme que le peuple a pleinement cautionné.

« Telle est, en effet, notre feuille de route que nous respectons scrupuleusement et appliquons pas à pas sous la supervision directe et quotidienne de son Excellence le président de la République, seul et unique garant de la pérennité de l'Etat en vertu de la Constitution », avait déclaré M. Sellal récemment lors d'une rencontre avec les investisseurs de la wilaya de Blida.

Il avait expliqué que le programme du président Bouteflika tend, en toute transparence, vers l'édification d'une économie émergente, l'augmentation de superficies irriguées d'un million d'hectares et la promotion des secteurs de l'industrie et du tourisme.

« A ma connaissance, nul sur la scène politique nationale n'est aussi soucieux que le chef de l'Etat de la souveraineté nationale. N'est-ce pas lui qui a appelé, à maintes reprises, au maintien d'une marge de manœuvre pour l'Etat au volet économique, s'est-il interrogé.

Et d’enchainer : « D'aucuns se demandent curieusement pourquoi nous ne libéralisons pas l'économie alors que, dans le même temps, nous encourageons les investisseurs et autres promoteurs et pourquoi nous maintenons la politique de soutien aux prix alors que nous procédons à des révisions des tarifs de certains produits et services ».

Pour Sellal, le paradoxe est dans les esprits sceptiques qui «remettent tout en cause alors qu'ils n'ont pas connaissance des éléments fondamentaux de chaque dossier ».

Le Premier ministre a, à ce propos, rappelé que le gouvernement demeurera fidèle à l'objectif que « nous nous sommes assigné: mettre en œuvre, à travers un plan d'action adopté par le Parlement, le programme présidentiel que le peuple a pleinement cautionné en tant que projet de société global ».

C'est dans le même sens que le Premier ministre a mis l'accent sur le respect des institutions de l’Etat, affirmant qu'il était inadmissible de continuer à remettre en cause constamment la légitimité des institutions.

L’Algérie est un Etat moderne, avec un Parlement et des institutions élues et une armée forte, a-t-il asséné, faisant observer que celui qui vise le poste de président de la République « n’a qu’à se porter candidat aux élections, appelant à cesser de semer la confusion au sein de la société.

Walid. B

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