Nos « pompiers » comme les nomment les populations ont fêté comme il se doit la journée la Journée mondiale de la Protection civile. Ils l'ont fêtée à travers la sortie de plusieurs promotions nationales dont celle des lieutenants- médecins. La formation est également dispensée à nombre de ressortissants africains dans le cadre de la coopération internationale.
Sur le plan national, ils ont toujours et sans faille fait preuve de mobilisation, disponibilité, engagement, professionnalisation, et parfois même de sacrifice suprême. Voilà un corps d'intervention ou plutôt de protection que les populations remercient chaque jour. Là où se produit une catastrophe naturelle, les éléments d'intervention de la DGPC sont là. Dans les délais les plus courts. Une catastrophe humaine, ils sont encore là. Un accident domestique, ils sont inévitablement là. On les trouve toujours à la pointe, là où s'exprime le plus de besoin d'aide, de besoin de secours, où s'exprime une prise en charge rassurante. Ils sont là, toujours là où on les sollicite. Ils ? Ce sont les éléments de la Protection civile. Le concept de protection est bien justifié. Ils sont très visibles sur les plages pour la protection des estivants. Il n'y a pas un accident sur les routes sans voir arriver les agents de la DGPG surtout quand il y a des conséquences corporelles. Leur renommée a traversé les frontières. Nos «pompiers» ont acquis un savoir-faire, une expertise reconnus dans le monde entier, ce qui leur vaut d'être sollicités partout, dans tous les pays victimes de catastrophes naturelles, en particulier des tremblements de terre. Que de fois ils ont réussi à sauver des vies humaines, là où apparaissait des difficultés particulières d'intervention et de découverte de victimes encore vivantes.
Dans tous les pays où nos « pompiers » interviennent, leurs dirigeants au plus haut niveau ne tarissent pas d’éloges à leur égard.
Said Abjaoui
