« Rendre à César ce qui appartient à César », s’est-il réjoui dans un communiqué. Khaled a obtenu gain de cause auprès de la cour d’appel de Paris, a-t-on appris ce jeudi. Le « roi du raï » était accusé de plagiat pour son tube Didi, sorti en 1992.
Alors que l’artiste avait été condamné en première instance, le tribunal parisien a estimé vendredi que le plaignant, l’auteur algérien Cheb Rabah, n’avait pas apporté la preuve que son œuvre qui, selon lui, aurait été copiée était bel et bien antérieure à Didi.
Succès mondial
Khaled a en revanche été débouté de sa demande de condamnation de Cheb Rabah pour procédure abusive. Sa chanson, Didi, avait été un tube mondial dans les années 1990. Il avait atteint les classements des meilleures ventes dans les pays arabes, mais aussi en France, en Belgique, en Espagne ou en Asie. La chanson a aussi été utilisée par Nanni Moretti dans une célèbre séquence deJournal intime.
