Le Front des Forces socialistes (FFS) a affirmé "respecter" tous les partis politiques, tout en tenant "un seul discours en toutes circonstances", estimant que cela ne peut être considéré comme une "insulte".
"Nous respectons amis et adversaires et, par-dessus tout, nous respectons l'exercice politique auquel a droit le peuple algérien. C'est pour cela que nous n'avons qu'un seul discours, celui que nous tenons en toutes circonstances: dans nos structures, au sein des institutions, dans nos meetings", a indiqué le Secrétariat national du FFS dans un communiqué rendu public mercredi.
"Le fait de réitérer ses positions en toutes circonstances, ne peut être considéré comme une insulte", a ajouté le Secrétariat national du FFS, réuni mardi en fin de journée au siège du parti.
Le FFS a relevé, en ce qui concerne "les attaques sur la moralité", qu'il s'est astreint "au silence à l'égard de tous, de la mort de son fondateur, Hocine Ait-Ahmed, jusqu'au 40ème jour après sa mort, malgré les tentatives grossières de manipulation des uns et des autres".
Le FFS a réaffirmé, d'autre part, la poursuite de son initiative visant "la reconstruction d'un consensus national avec toutes les Algériennes et les Algériens".