«La liberté de la presse au service du développement» a été au menu d'une journée d'étude organisée hier à l'Ecole nationale supérieure des sciences politiques à Alger.Ont assisté a cette rencontre co-organisée avec la Radio algérienne le ministre de la Communication Abdelkader Messahel, les directeurs généraux de l'Entreprise publique de télévision Toufik Kheladi, de la Radio nationale Chaâbane Lounakal et le directeur de l'Ecole nationale supérieure de sciences politiques M'hand Berkouk.
Dans son allocution d'ouverture, M. Messahel a affirmé que le président de la République Abdelaziz Bouteflika accordait «un intérêt particulier» à la liberté d'expression. Pour M. Messahel, le message adressé par le Chef de l'Etat à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse est une «feuille de route» pour le gouvernement dans ses démarches visant la consolidation de la liberté d'expression en Algérie.
Il a mis en avant la nécessité pour «la presse qui joue un rôle prépondérant dans la sensibilisation du citoyen et le développement du pays de s'organiser».Enseignants universitaires et experts sont intervenus pour leur part autour des thèmes suivants: «L'information de proximité au service du développement: exemple de la radio locale», «Lecture juridique dans la liberté de la presse» ou encore «La liberté de la presse au service du développement». Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la journée mondiale de la liberté de la presse célébrée le 3 mai de chaque année.
