Editorial

Aux frustrés du «printemps arabe» et aux nostalgiques de l’instabilité...

Publié par Kamel Cherif le 04-03-2014, 19h55 | 100
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En se portant officiellement candidat pour un quatrième mandat consécutif, le Président Bouteflika a fait tomber les masques de ceux qui tentaient qui complotaient jusque-là pour l’empêcher, par tous les moyens, de postuler à sa propre succession.

La scène politique connait une animation qui a tendance à se transformer en agitation de la part de ceux qui n’ont jamais cessé leurs manœuvres dans le but de parasiter voire d’empêcher le processus électoral. 

Ce sont ceux-là mêmes qui avaient appelé à l’application de l’article 88 de la Constitution l’été dernier, l’organisation d’une élection anticipée avant de préconiser une période de transition et s’illusionner carrément de l’annulation du rendez-vous du 17 avril prochain. 

Autant de scénarios qui ont fini par aigrir les Algériens, lesquels aspirent à la paix, la sécurité et le développement du pays. Pis encore, ces lunatiques et versatiles s’avèrent d’ores et déjà vaincus après la confirmation de la candidature du Président Bouteflika en proférant des menaces inquiétantes au cas où le Président de la République remporte la prochaine élection !

Le nombre de signatures collectées par les partis politiques et les associations de la société civile au profit de la candidature du Président Bouteflika dénote de la reconnaissance du peuple algérien à ce président qui incarne l’Algérie de la paix, de la sécurité, du développement et de la modernité. 
Les Algériens se souviennent encore des années de sang et de feu que leur imposait un couvre-feu décrété dès le début des après-midi ! 

Les Algériens se rappellent aussi des attentats terroristes qui ont endeuillé des milliers de familles et se remémorent des régions et zones déclarées inaccessibles et contrôlées par des groupes terroristes et criminels.

Les Algériens n’ont pas la mémoire courte pour oublier l’embargo international imposé dans les années 1990 au pays, aggravé par la campagne du «qui tue qui», laquelle visait de manière sournoise les institutions du pays. 

Aujourd’hui, face à ces frustrés du «printemps arabe» et nostalgiques de l’instabilité, les Algériens affichent toute leur reconnaissance à un Président qui symbolise la paix et la quiétude, consacrée par la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. A cela s’ajoute l’option de la politique sociale prônée par le gouvernement au profit des couches sociales moins favorisées.  Force est de reconnaitre que c’est durant les mandats de Bouteflika que les Algériens ont bénéficié d’autant de logements ! 

C’est aussi durant ses mandats que le métro est sorti d’un tunnel entamé en... 1980. 
Ce sont là quelques acquis, sans évoquer les réformes politiques, qui sont à mettre à l’actif du Président Bouteflika. En ce sens et par honnêteté intellectuel, il est injuste de se montrer ingrats et lunatiques. 

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