Quelque 17 affaires criminelles ont été traitées durant le mois de juin dernier par les brigades criminelles de la sûreté nationale, a révélé dimanche un bilan de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
«Les unités de la police appuyées par des éléments de la police scientifique et technique ont pu élucider 7 affaires d'homicide volontaire. Les investigations menées par la police judiciaire ont permis l'arrestation de 14 individus qui ont été présentés devant le parquet territorialement compétent qui a ordonné leur mise en détention provisoire», précise la même source.
«10 affaires liées à des coups et blessures entrainant la mort ont également été soldées par l'arrestation de 14 personnes qui ont été présentées devant les juridictions compétentes».
Sur la base des statistiques avancées, les affaires d'homicide volontaire et de coups et blessures entrainant la mort enregistrées pendant le mois de juin dernier «ont été traitées à 100% et les prévenus présentés devant les juridictions compétentes», poursuit la même source.
La Direction générale de la sûreté nationale a imputé ces «résultats positifs» à l'«efficacité des mécanismes de lutte contre le crime et le recours des enquêteurs de la sûreté nationale à l'analyse des preuves et empreintes digitales et génétiques». La direction générale de la sûreté nationale rappelle que la police «reste mobilisée pour la prise en charge des informations qui lui parviennent par le biais du numéro vert 15/48».
