Un passant découvre un corps sans vie. C’est celui de Hicham, un jeune homme de 40 ans.
L’assassina été arrêté cinq jours plus tard.
Ce jour là, Hicham a été tué par Walid suite à une banale altercation, la victime a reçu un violent coup à la poitrine. Le criminel s’enfuit et rentre chez lui et quand les secours arrivent il est déjà trop tard pour le malheureux. Il succombera à ses blessures.
L’assassin est un repris de justice notoire et avait un casier judiciaire chargé. Le jour du procès, Walid répond de ses actes devant le tribunal criminel d’Alger. Le président ne manquera pas de rappeler le passé de l’accusé et son casier judiciaire.
Le coupable reconnaît les faits retenus contre lui en déclarant que le défunt le menaçant lui aussi d’un couteau. « Je ne savais pas ce que je faisais, je ne voulais pas le tuer. »
Le représentant du ministère public relatant les faits contenus dans le dossier, il les a jugés très graves et requiert 18 ans de réclusion criminelle à l’encontre de Walid.
L’avocat de la défense, devant la reconnaissance des faits par son client, se contente de demander des circonstances atténuantes.
Au terme des délibérations, le coupable est condamné à 15 ans de réclusion criminelle.
