Actualité

Présidentielle 2014 : Un grand meeting populaire prévu samedi à la salle Harcha: Les partisans de Bouteflika réagissent

Publié par Walid B. le 12-03-2014, 19h53 | 119
|

A une dizaine de jours du coup d’envoi officiel de la campagne électorale pour la présidentielle du 17 avril prochain, les partis politiques et organisations de la société civile ayant opté pour la candidature du Président Abdelaziz Bouteflika comptent ratisser large auprès des citoyens lors d’un grand meeting populaire qui sera organisé ce samedi à la salle Harcha.

L’information a été confirmée par le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA), Amara Benyounes, sur les ondes de la chaine 3 de la radio algérienne.Benyounès a, par la même occasion, fustigé ceux qui s’opposent à un 4e mandat du Président Bouteflika, soulignant que le seul changement doit se faire à travers les urnes.

Tout en défendant le bilan du Président de la République qui a permis de rétablir la paix et la stabilité dans le pays et de restaurer la place de l’Algérie sur la scène internationale après une longue période d’austracisme, Benyounès a dénoncé les tentatives visant à empêcher Abdelaziz Bouteflika de briguer un 4e mandat, estimant qu’il s’agissait d’un acte « antidémocratique ».

Benyounès qui a réaffirmé l’engagement de sa formation politique en faveur de la candidature du Président Abdelaziz Bouteflika, a mis en garde contre toutes les tentatives visant la déstabilisation de l’Algérie. Le peuple algérien, dira-t-il, ne veut plus revivre les scènes d’horreur et violence qu’il avait vécues durant les années 90, considérant que le scrutin du 17 avril constitue une étape « cruciale » pour l’avenir de l’Algérie, devenue une cible privilégiée en cette conjoncture particulière pour ceux qui ont échoué par le passé dans leurs différents plans de déstabilisation.

De ce fait, le peuple est appelé à se rendre massivement aux urnes le jour du scrutin en vue d’exprimer librement son choix et mettre en échec toutes ces tentatives de déstabilisation.
Aujourd’hui, les Algériens, ou du moins la majorité d’entre eux, sont convaincus que c’est grâce à la politique de réconciliation nationale, initiée et mise en œuvre par le Président Bouteflika, que l'Algérie a renoué avec la stabilité et occupe désormais une position de plus en plus forte dans le concert des nations. Cela a fait dire à de nombreux partis politiques que la consolidation d’un front interne fort, solidaire et uni, constitue l’unique alternative  pour faire face aux manœuvres de déstabilisation visant l’Algérie.

Ce qui s’est passé récemment dans la wilaya de Ghardaïa relève de ce complot ourdi qui se trame contre notre pays et dont les desseins répondent à un plan macabre orchestré par des milieux, ici et ailleurs, connus pour leur rancune envers l’Algérie.  C’est dans ce sens que plusieurs formations politiques ont tiré la sonnette d’alarme contre ce genre de complots, en fustigeant ceux qui attisent les feux de la révolte.
Dans le même ordre d’idées, le Premier ministre Abdelmalek Sellal n’avait pas manqué dernièrement de pointer du doigt ceux qui s’amusent à jouer avec le feu, en affirmant que la stabilité du pays est quelque chose de sacré et qu’elle constitue une ligne rouge à ne pas franchir.

L’Algérie, dira-t-il, avait amorcé, grâce à l’action et à la clairvoyance du Président Abdelaziz Bouteflika, une phase de stabilité politique et institutionnelle « très importante » et cette stabilité doit être aujourd'hui préservée et défendue quel qu’en soit le prix à payer.  Il a indiqué, à cet effet, que plusieurs parties n’acceptent toujours pas le fait que la stabilité de l’Algérie demeure inébranlable, affirmant que c’est cette même stabilité qui a favorisé le développement économique et social du pays. Pour le Premier ministre, la réussite de l’élection présidentielle du 17 avril prochain est « un devoir qui incombe à tout Algérien jaloux de son pays ».

M. Sellal a fait observer, à ce propos, que le peuple algérien n’accepterait jamais un retour en arrière, compte tenu de la stabilité et de la sérénité dont jouit aujourd’hui le pays. 
L’heure, dira-t-il, « n’est plus à de nouveaux troubles et il faut reconnaître que l’Algérie vit au rythme d’une relance socio-économique ». Le Premier ministre a appelé les candidats à œuvrer dans le sens de la consécration de la démocratie et de la préservation de la stabilité du pays.Ce sont là autant de messages clairs qui attestent que l’Algérie est en marche vers le progrès et le développement et que rien ne pourra ébranler ce choix incontournable.
 

|
Haut de la page

CHRONIQUES

  • Walid B

    Grâce à des efforts inlassablement consentis et à une efficacité fièrement retrouvée, la diplomatie algérienne, sous l’impulsion de celui qui fut son artisan principal, en l’occurrence le président de la République Abdelaziz Bouteflika, occupe aujour

  • Boualem Branki

    La loi de finances 2016 n’est pas austère. Contrairement à ce qui a été pronostiqué par ‘’les experts’’, le dernier Conseil des ministres, présidé par le Président Bouteflika, a adopté en réalité une loi de finances qui prend en compte autant le ress

  • Walid B

    C'est dans le contexte d'un large mouvement de réformes sécuritaires et politiques, lancé en 2011, avec la levée de l'état d'urgence et la mise en chantier de plusieurs lois à portée politique, que ce processus sera couronné prochainement par le proj

  • Boualem Branki

    La solidité des institutions algériennes, la valorisation des acquis sociaux et leur développement, tels ont été les grands messages livrés hier lundi à Bechar par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales Nouredine Bédoui.

  • DK NEWS

    Le gouvernement ne semble pas connaître de répit en cette période estivale. Les ministres sont tous sur le terrain pour préparer la rentrée sociale qui interviendra début septembre prochain.

  • Walid B

    Dans un contexte géopolitique régional et international marqué par des bouleversements de toutes sortes et des défis multiples, la consolidation du front interne s'impose comme unique voie pour faire face à toutes les menaces internes..

  • Walid B

    Après le Sud, le premier ministre Abdelmalek Sellal met le cap sur l'Ouest du pays où il est attendu aujourd'hui dans les wilayas d'Oran et de Mascara pour une visite de travail et d'inspection.