Ce lundi dernier, les bénéficiaires des 424 logements sociaux ont été conviés par les services de l’OPGI de Tissemsilt, au niveau de la salle OMS «Allaouet Tayeb» route de Ain el Bordj à Tissemsilt, ont procédé au tirage au sort du positionnement des 424 nouveaux locataires qui venaient de bénéficier de logements décents, qui va régler définitivement les problèmes des placements et des choix des sites des logements en question (280 logements) au site «Seffah» et (160 logements) à Ain Laurent.
Par ailleurs, ils ne restent que les travaux des VRD dans les deux sites.
Selon nos sources, cette initiative du tirage au sort est motivée uniquement par le seul souci de transparence. Et comme les services concernés ne peuvent satisfaire les désidératas des uns et des autres attributaires, faute de disponibilité suffisante en matière de qualité, il a fallu organiser un tirage au sort public qui allait persuader les citoyens à accepter le résultat. D’autre part, et concernant le cas des handicapés auxquels ont bénéficié des logements sociaux, que cette frange de la société qui nécessite une meilleure attention et facilitation en matière de commodités de vie, qu’ils « sont prioritaires, pour peu qu’ils soient munis de leurs cartes qui justifient leur handicap, notamment physique ». Le tirage au sort s’est déroulé dans une atmosphère ambiante, où nous avons vu presque tous les bénéficiaires accompagnés de leurs familles. Par contre, le dossier du logement social a été si bien géré et sans encombres aujourd’hui, où nous avons remarqués une forte présence des éléments de l’ordre public qui se sont postés aux alentours de la salle OMS « Allaouet Tayeb », afin de sécuriser les lieux et de paraitre à toute tentative d’ébranler la quiétude qui régnait à l’intérieur de la salle, voire de déstabilisation de l’opération de tirage au sort.
Par ailleurs, 135 bénéficiaires dont leurs dossiers restent en suspens.
Ces derniers n’arrêtent pas d’afficher leur impatience à être relogés dans un délai immédiat et dont le cas reste compliqué par des fausses déclarations et exigences surréalistes relevées par la commission d’enquête et de recours.
Abed Meghit